Cinquante nuisances d'Earl Grey de Fanny Merkin

Par Emilie Martinez @ptitelily01
Cinquante nuisances d'Earl GreyAuteur: Fanny MerkinEdition: Milady RomancePublié en: 2015.Genre: Humoristique, Érotisme.


Comme le hasard fait bien les choses, Anna, étudiante naïve aux mensurations idéales, a rencontré un homme incroyablement riche, divinement mystérieux, et délicieusement plus âgé qu’elle. Depuis, elle passe son temps à soupirer et à se mordre la lèvre inférieure. Surmonter les cinquante nuisances d’Earl Grey ne sera pas une mince affaire. Entre son admiration sans bornes pour le groupe Nickelback, son insupportable penchant pour le goût de la Bud Light et sa singulière addiction au BDSM (Bardes, Dragons, Sorcellerie et Magie), Anna n’est pas au bout de ses surprises... et vous non plus.



J’étais enfin prête pour lire une parodie sur la Trilogie Cinquante Nuances de Grey. Mais je n’ai pas toujours de bonnes expériences avec ces parodies, et c’est le cas pour celui-là aussi. Pourtant, cela avait bien démarré, j’avais très rapidement accroché et je rigolais régulièrement, de plus, comme j’avais un souvenir assez lointain de la trilogie, je ne pouvais donc pas faire ma pénible en comparant les choses. Mon avis, va être assez court, vu que les parodies, sont à lire si on n’a pas aimé la trilogie d’origine ou si on est prête à accepter la critique. J’avoue qu’au début, j’étais plutôt enthousiasme et ma lecture avançait rapidement. Mais au bout d’un moment, comme souvent quand je lis une parodie, j’ai eu une overdose d’humour, et cela, à commencer à m’énerver un peu. J’ai fini par lire en diagonale. C’est un humour assez lourd et forcément  à petite dose c’est bien, mais en faire un livre un peu lourd.
En conclusion, une bonne lecture, juste un peu lourd, mais finalement, j’ai bien aimé et bien rigolé. Après, ça reste une parodie qui n’apporte pas grand-chose à part un peu de rigolade. Mais à ne pas mettre entre toutes les mains, surtout pour les fanatiques de la trilogie. Sinon un bon moment de détente mais sans plus. 2/5