J’ai vu ce tag très intéressant chez Mrs Turner du blog My Paradise.
Voici donc ma liste de mon top 10 :
Marie a vingt-cinq ans. Un soir de fête, coup de foudre pour le beau Pablo, nuit d’amour et le lendemain… Elle se réveille à ses côtés, douze ans plus tard, mariée, mère de trois enfants, sans un seul souvenir de ces années écoulées. Comment faire pour donner le change à son entourage ? Et comment retrouver sa propre vie ? C’est avec une énergie virevoltante et un optimisme rafraîchissant que Frédérique Deghelt a écrit ce roman sur l’amour et le temps qui passe, sur les rêves des jeunes filles confrontés au quotidien et à la force des choix qui déterminent l’existence.
Pourquoi ?
C’est un roman que j’ai lu il y a bon moment déjà et dont j’en ai encore un très bon souvenir. Il m’a fait ressentir pleins d’émotions et c’est aussi un livre qui nous pousse à la réflexion sur notre vie et nos moments vécus.
Dans les premières années du XIXe siècle, loin des guerres de Napoléon, au sud-ouest de l’Angleterre, une fille de pasteur anglican, qui n’est ni très riche, ni très pauvre, ni savante, ni illettrée, qui n’a aucune aventure exceptionnelle, et qui n’épousera pas un lord, entreprend singulièrement de dire en prose de fiction quelque chose d’irracontable et de jamais encore raconté : comment une jeune fille, entre toutes les contraintes de la famille, du monde et des mœurs, devient une personne entière, autonome et invincible. Et ce faisant Jane Austen crée d’un seul coup une branche nouvelle, unique, étonnante, imprévisible du roman anglais, qui est surtout le roman des anglaises, avec sa prose silencieuse, énigmatique, la prose du non-dit, de la réticence, et de la retenue. ; celle qui, après elle s’avance vers sa floraison, peut-être ultime, en Henry James et Virginia Woolf. Orgueil et Préjugés est le plus connu des six romans achevés de Jane Austen. Son histoire, sa question, est en apparence celle d’un mariage : l’héroïne, la vive et ironique Elizabeth Bennett qui n’est pas riche, aimera-t-elle le héros, le riche et orgueilleux Darcy ? Si oui, en sera-t-elle aimée ? Si oui encore, l’épousera-t-elle ?
Pourquoi ?
C’est avec ce roman que j’ai découvert Jane Austen et j’ai tout de suite été charmée par sa plume. C’est une œuvre que l’on ne peut oublier, les protagonistes sont fort attachants et l’ambiance de l’ancienne Angleterre avec ses mœurs nous est très bien représentée. D’ailleurs, je compte bien relire ce chef-d’œuvre un jour.
Phileas Fogg, gentleman anglais, parie avec les membres de son club qu’il fera le tour de la terre en 80 jours. Et, aussitôt, le voilà parti accompagné de son domestique Jean, un Parisien, dit Passepartout. Il devra être revenu à Londres, pour gagner, le samedi 21 décembre 1872 à 20 heures 45 minutes !
Soupçonné d’être l’audacieux voleur de la Banque d’Angleterre, Phileas Fogg va être filé tout au long de ses pérégrinations par le détective Fix qui ne peut cependant pas l’arrêter, le mandat d’amener arrivant toujours trop tard.
Les pays traversés, les multiples aventures, les stratagèmes employés pour contourner les nombreux obstacles, l’activité débordante de Phileas Fogg pour lutter contre le temps en ne se départant jamais de son flegme tout britannique, les personnalités de Passepartout et de l’obstiné Fix font le Tour du monde en 80 jours un merveilleux roman, l’un des meilleurs de Jules Verne, dont le succès considérable ne s’est jamais démenti depuis sa parution en 1873.
Pourquoi ?
J’ai découvert Jules Verne avec ce roman et c’est l’un de mes préféré. C’est un récit très dépaysant où l’on a réellement l’impression de voyager aux côtés de notre gentleman Phileas Fogg, un personnage que l’on en peut oublier.
Hazel, 16 ans, est atteinte d’un cancer. Son dernier traitement semble avoir arrêté l’évolution de la maladie, mais elle se sait condamnée. Bien qu’elle s’y ennuie passablement, elle intègre un groupe de soutien, fréquenté par d’autres jeunes malades. C’est là qu’elle rencontre Augustus, un garçon en rémission, qui partage son humour et son goût de la littérature. Entre les deux adolescents, l’attirance est immédiate. Et malgré les réticences d’Hazel, qui a peur de s’impliquer dans une relation dont le temps est compté, leur histoire d’amour commence… les entraînant vite dans un projet un peu fou, ambitieux, drôle et surtout plein de vie.
Pourquoi ?
Roman lu récemment et qui m’a marqué. Il m’a vraiment ému du début jusqu’à la fin, j’ai eu du mal à me replonger dans une autre lecture après l’avoir terminé et vu son adaptation cinématographique. C’est un livre dont je ne suis pas prête d’oublier et c’est un des seul qui m’a bouleversé autant. La personnalité des personnages nous est tellement bien retranscrite que l’on a vraiment l’impression de les connaître. Un de mes plus gros coup de cœur !
Jack, ex-enseignant, viré pour comportement brutal, souhaite devenir écrivain. Il est engagé comme gardien de l’Overloock hôtel pendant l’hiver. Un bâtiment immense et coupé du monde en cette période. Redoutant les effets de la solitude, il part avec sa femme Wendy et son fils Danny. Ce dernier possède un don de clairvoyance et de communication télépathique : le shining. Dès l’instant où il entre dans l’hôtel il s’y sent mal à l’aise et commence à avoir des flashes sur le passé de l’hôtel, des craintes, et il fait des cauchemars. L’hôtel inspire la crainte et ne lui attire pas confiance. Surtout lorsqu’il sent son père entraîné vers la folie tout comme le gardien précédent de l’hôtel qui se suicida après avoir tué ses deux filles…
Pourquoi ?
C’est le seul livre pour lequel j’ai passé une nuit blanche tant je voulais connaître le dénouement de cette histoire frissonnante. Pour ma part, c’est mon Stephen King préféré jusqu’à maintenant. Et même si j’ai aimé de cet auteur « Marche ou crève » et « Simetierre », je trouve qu’ils ne sont pas à la hauteur de « Shining » : ils leur manque cette ambiance terrifiante.
Confié par ses parents à une grand-mère qui le déteste, Rémi vit un calvaire feutré. Sans coups ni violence, seulement celle des silences et des mots. Les dents serrées, il supporte au jour le jour ces humiliations, persuadé que le collège aussi est un territoire hostile. Jusqu’au jour où Marie, une fille de sa classe, intello maigrichonne et virtuose du violon, perçoit son mal-être. Au-delà des apparences, elle est sans doute la seule à pouvoir comprendre la souffrance de Rémi…
Pourquoi ?
C’est un roman poignant, traitant d’un sujet réel : c’est-à-dire la maltraitance des adultes envers les enfants. L’auteur traite ce sujet avec brio sans que ça tombe dans le mélodrame. J’aime les livres parlant de choses d’actualité, ça permet de nous ouvrir les yeux sur le monde qui nous entoure.
Edimbourg, 1874 : le jour le plus froid du monde. Lorsque Jack naît, son cœur gelé se brise immédiatement. La sage-femme le remplace par une horloge et le sauve. Depuis lors, il doit prendre soin d’en remonter chaque matin le mécanisme. Mais gare aux passions ! Le regard de braise d’une petite chanteuse andalouse va mettre le cœur de Jack à rude épreuve….
Un conte initiatique cruel et merveilleux.
Pourquoi ?
Aimant l’univers à la Tim Burton, ce roman ne pouvait que me séduire. L’histoire est originale et elle est écrite de façon très poétique. J’aime les auteurs qui ont leur propre univers sortant de l’ordinaire.
Un homme et une femme. Ils ne se connaissent pas mais échangent des mails. Jusqu’à devenir accros. Jusqu’à ne plus pouvoir se passer l’un de l’autre, sans se rencontrer pour autant…
Savoureuse et captivante, cette comédie de mœurs explore avec finesse et humour la naissance du sentiment amoureux.
Pourquoi ?
C’est un roman épistolaire très prenant que j’ai dévoré en quelques heures. Les protagonistes sont très attachants et l’auteur a su avec brio nous dépeindre à merveille leur personnalité. J’ai aimé également le côté très réaliste de ce récit.
Leo Leike était à Boston en exil, le voici qui revient. Il y fuyait la romance épistolaire qui l’unissait en esprit à Emmi. Elle reposait sur trois principes : pas de rencontre, pas de sexe, pas d’avenir. Faut-il mettre un terme à une histoire d’amour où l’on ne connaît pas le visage de l’autre ? Où l’on rêve de tous les possibles ? Où les caresses sont interdites ? « Pourquoi veux-tu me rencontrer ? » demande Leo, inquiet. « parce que je veux que tu en finisses avec l’idée que je veux finir », répond Emmi, séductrice.
Alors, dans ce roman virtuose qui joue avec les codes de l’amour courtois et les pièges de la communication moderne, la farandole continue, le charme agit, jusqu’au dernier mail.
Pourquoi ?
Tout simplement parce que c’est la suite de « Quand souffle le vent du nord » et, que j’ai pris plaisir à retrouver nos deux attachants protagonistes fidèles à eux-mêmes, avec leur même personnalité. Et surtout, que le dénouement répond tout à fait à mes attentes.
À Cape Cod, dans le Massachusetts, Hope s’affaire derrière les fourneaux de la pâtisserie familiale. Entre son travail, la rébellion de sa fille adolescente, son récent divorce et ses soucis financiers, elle frôle parfois le surmenage. Hope s’enfonce peu à peu dans la déprime et la résignation. Aussi, quand sa grand-mère Rose lui demande d’aller en France retrouver sa famille disparue pendant la guerre, Hope accepte sans hésiter. Décidée à reprendre sa vie en main, elle s’envole pour Paris en quête de ce passé dont elle ignore tout. Car le temps est compté : atteinte de la maladie d’Alzheimer, la mémoire de Rose faiblit. Pour tout indice, elle a donné à sa petite-fille une simple liste de noms et une adresse.
Pourquoi ?
J’aime bien ce genre d’histoire traitant de secrets de famille. Dans ce roman, j’ai aimé suivre notre héroïne à la recherche de ses origines que l’on découvre en même temps qu’elle. L’histoire m’a vraiment tenu en haleine du début jusqu’à la fin.