#Bleue Auteur:Florence Hinckel.Edition: Syros (Soon).Publié en: 2015.Genre: Jeunesse, Science-Fiction.
Ce livre était un cadeau, il m’avait interpellé, mais je ne pense pas que je l’aurais acheté. J’aime assez bien la couverture, surtout ces points bleus sur le poignet. Comme je ne lis jamais les résumés, j’ignorais complètement de quoi allait parler le livre. J’ai très rapidement accroché dès le premier chapitre, ce qui est assez rare, mais l’événement dans le premier chapitre à tout de suite captivé mon attention. Nous tombons dans un monde où les personnes veulent que l’on supprime la douleur des gens, pour diverses raisons. J’avoue que cela m’a beaucoup intrigué. Surtout quand on suit le point de vue de Sila, qui suit à un choc, va devoir subir une petite suppression de la douleur. Mais cela donne vraiment l’impression qu’il n’enlève pas juste la douleur, mais que cela détraque la personne en elle-même. On le voit sur l’exemple du père d’Astrid, qui est complètement insensible comme une coquille vide. Ce qui fait complètement flipper, finalement même si l’idée d’irradier la peine peu paraît plaisant, plus nous avançons dans le livre et plus on se rend compte que sans ce sentiment, on est beaucoup moins humain et qu’on ne serait sûrement pas ce que nous sommes aujourd’hui. J’ai beaucoup aimé cette première partie avec le point de vue de Sila, mais beaucoup moins les deux autres, même si elles permettent d’avoir une explication de ce monde et une conclusion, je suis assez peinée par la tournure de l’histoire. Après je pense que le livre nous force à nous remettre en question et à nous interroger.
En conclusion, une lecture assez agréable quand même. Je n’ai pas trop aimé la tournure de l’histoire, mais mine de rien ce n’est pas vraiment cela que je retiens. Ce sont plus les interrogations et le monde que l’on découvre, qui m’ont attiré. On se remet en question sur ce système de suppression de la douleur, cela nous pousse forcément à réagir et prendre conscience que chaque sentiment à de l’importance pour faire de nous des êtres humains. L’auteure est assez douée pour traiter de sujet actuel et de faire passer des messages assez forts, ou alors de nous forcer à nous remettre en question, nous faire réfléchir et j’en passe. Je pense que c’est vraiment une auteure à découvrir, même si ce livre n’est pas le meilleur dans mon classement pour cette auteure.3/5
Ce livre était un cadeau, il m’avait interpellé, mais je ne pense pas que je l’aurais acheté. J’aime assez bien la couverture, surtout ces points bleus sur le poignet. Comme je ne lis jamais les résumés, j’ignorais complètement de quoi allait parler le livre. J’ai très rapidement accroché dès le premier chapitre, ce qui est assez rare, mais l’événement dans le premier chapitre à tout de suite captivé mon attention. Nous tombons dans un monde où les personnes veulent que l’on supprime la douleur des gens, pour diverses raisons. J’avoue que cela m’a beaucoup intrigué. Surtout quand on suit le point de vue de Sila, qui suit à un choc, va devoir subir une petite suppression de la douleur. Mais cela donne vraiment l’impression qu’il n’enlève pas juste la douleur, mais que cela détraque la personne en elle-même. On le voit sur l’exemple du père d’Astrid, qui est complètement insensible comme une coquille vide. Ce qui fait complètement flipper, finalement même si l’idée d’irradier la peine peu paraît plaisant, plus nous avançons dans le livre et plus on se rend compte que sans ce sentiment, on est beaucoup moins humain et qu’on ne serait sûrement pas ce que nous sommes aujourd’hui. J’ai beaucoup aimé cette première partie avec le point de vue de Sila, mais beaucoup moins les deux autres, même si elles permettent d’avoir une explication de ce monde et une conclusion, je suis assez peinée par la tournure de l’histoire. Après je pense que le livre nous force à nous remettre en question et à nous interroger.
En conclusion, une lecture assez agréable quand même. Je n’ai pas trop aimé la tournure de l’histoire, mais mine de rien ce n’est pas vraiment cela que je retiens. Ce sont plus les interrogations et le monde que l’on découvre, qui m’ont attiré. On se remet en question sur ce système de suppression de la douleur, cela nous pousse forcément à réagir et prendre conscience que chaque sentiment à de l’importance pour faire de nous des êtres humains. L’auteure est assez douée pour traiter de sujet actuel et de faire passer des messages assez forts, ou alors de nous forcer à nous remettre en question, nous faire réfléchir et j’en passe. Je pense que c’est vraiment une auteure à découvrir, même si ce livre n’est pas le meilleur dans mon classement pour cette auteure.3/5