[La rétro littéraire]Débutantes Divorcées de Plum Sykes

Par No' @Holly_Goli

Aujourd’hui, pour cette fin de semaine, alors que l’automne approche à grand pas, je vous propose une petite comédie pour prolonger l’été.

C’est quoi le pitch Holly ?

Il y a quelques temps encore, le mariage était l’accessoire de mode, la tendance indispensable auprès des célibataires New-Yorkaises. Mais une nouvelle mode vient d’être lancée et cela n’est pas prêt de s’arrêter : le divorce. A quoi bon avoir un mari quand on a déjà tout ce qu’on veut ? Bref est-il que l’on préfère cent fois faire une divorce shower qu’un enterrement de vie de jeune fille alors que c’est la même chose.
Mais une femme parmi tant d’autres résiste à l’attraction du divorce : Sylvie. Jolie brune travaillant dans la mode, elle est mariée à Hunter, producteur de son état. Il est l’homme idéal : plein de charme, tendre, aux petits soins pour son épouse et tant d’autres qualités. Même quand il l’abandonne en pleine lune de miel au Mexique pour signer un contrat juteux, Sylvie l’aime encore plus fort. Et ce n’est pas Lauren, sa nouvelle amie, riche New-Yorkaise fraîchement divorcée, qui la fera changer de cap. Pourtant Sylvie doute : pour Sophia d’Arlan tourne-t-elle autour de son mari ? Mariage ? Ou Divorce ? Rétro ou bien tendance ? Sylvie sauvera-t-elle son couple ou bien succombera-t-elle à la tentation ?

On en pense quoi ?

Tout comme Blonde Attitude, ce livre est chouette. Enfin, pour les fans de la Chick-Lit ou même ceux et celles qui veulent se détendre un peu. C’est un livre assez comique et qui montre que Plum Sykes est une sorte de Helen Fielding américaine. Elle colle parfaitement à la tendance (de l’époque car ce livre a presque 10 ans) en nous amusant avec les péripéties amoureuses et sexuelles des ses héroïnes (même si parfois, ça frise la vulgarité).

Sylvie est un personnage plutôt attachant et qui étrangement est différente des héroïnes habituelles. J’ai apprécié son mari Hunter mais … je l’ai trouvé trop absent dans le livre. L’autre héroïne c’est Lauren qui elle m’a profondément énervée. Elle est trop excessive, dommage car il y avait du potentiel.

Conclusion

Un livre très mignon dans la veine de Bridget Jones et de Lauren Weisberger. Quelques petites longueurs et une seconde héroïne un peu trop vulgaire et caricatural à mon goût. Mais ça se lit tout seul. Attention ! Le diable ne s’habille peut être pas en Prada mais plutôt en avocat, millions de dollars et autres surprises de la vie.