Auteur : Michel Bussi
Éditeur : presses de la cité
Format : grand
Nombre de pages : 509
Prix : 21.50 €
Résumé de l'éditeur :
Mardi 2 novembre 2015. Lorsque Vasile, psychologue scolaire, se rend au commissariat du Havre pour rencontrer la commandante Marianne Augresse, il sait qu'il doit se montrer convaincant. Très convaincant.
Si cette fichue affaire du spectaculaire casse de Deauville, avec ses principaux suspects en cavale et son butin introuvable, ne traînait pas autant, Marianne ne l'aurait peut-être pas écouté.
Car ce qu'il raconte est invraisemblable : Malone, trois ans et demi, affirme que sa mère n'est pas sa vraie mère. Sa mémoire, comme celle de tout enfant, est fragile, elle ne tient qu'à un fil, qu'à des bouts de souvenirs, qu'aux conversations qu'il entretient avec Gouti, sa peluche…
Vasile le croit pourtant. Et pressent le danger.
Jeudi 4 novembre 2015, tout bascule.
Le compte à rebours a commencé.
Qui est Malone ?
J'aime beaucoup Michel Bussi, j'ai déjà lu "Nymphéas noirs", "Un avion sans elles" et "Ne lâche pas ma main", et je les ai adoré! Mais celui-ci m'a déçue. Je n'ai pas accroché à l'histoire.
En effet, j'étais contente de l'avoir enfin entre les mains. Depuis le temps que je lisais des avis sur ce livre, il était temps! Malheureusement, une déception pour moi. Je l'ai trouvé lent, sans grand intérêt et surtout, sans grand suspense. Ok, il y en a du suspense, mais il ne m'a pas fait vibrer, on connait une partie de la fin dès le début de l'histoire, du coup, je trouve qu'on perd un peu de magie tout au long du livre. Je ne comprends pas pourquoi certains auteurs aiment démarrer par la fin pour ensuite passer au reste de l'histoire en notant "6 mois plus tôt", je n'aime pas car ça enlève des questions.
Bien sûr, on se demande qui est ce petit garçon, comment il peut raconter toutes ses histoires et d'où elles viennent, mais ces questions sont assez rapidement résolues, du coup la deuxième partie est lente et longue... On reste encore dans le doute sur un détail mais c'est tout, le reste est déjà tout décidé et compris.
Et le dernier chapitre est complètement inutile et idiot ; il l'a rajouté pour donner une fin à la vie de la commandante de police qui suit l’enquête du début à la fin, mais ces dernières pages n'apportent rien et sont futiles, voire même ridicules.