Auteur : Carole Declercq
Éditeur : Terra Nova
Format : Grand
Nombre de pages : 288
Prix : 18 €
Résumé de l'éditeur :
Un jeune homme découvre l'histoire de sa famille à travers les souvenirs de sa grand-mère. Marianne, résistante française de moins de 20 ans en 1944, espionne l'officier allemand Von Wreden avant d'en tomber amoureuse.
Un livre que j'ai aimé aussi bien que j'ai pas accroché, j'ai fermé le livre et je ne savais pas de quel coté mon cœur se balançait.
La romance est un peu facile, même si leur relation ne l'est absolument pas. J'ai beaucoup aimé le fait que l'auteur explore la romance Franco/Allemande sous l'occupation.
Je me suis attachée à Maxim pour sa sensibilité et quelque part sa fragilité qui contraste avec son grade. Le personnage de Marianne m'a également plu, mais m'a également agacé. C'est ce personnage que j'ai eu le plus de difficulté à comprendre. Je n'ai pas compris pourquoi elle ne pouvait pas dire à Maxim "Je t'aime". Je n'ai pas vraiment ressenti son hésitation ni ses doutes. Elle accepte de se montrer en public et de coucher avec lui, mais dire ces trois petits mots serait déshonorant.
Je me suis également emmêlée les pinceaux avec les personnages, entre leurs noms et les pseudos, ce n'était pas évident. Les bonds en arrière ne m'ont pas aidée non plus. J'ai été également perdue par des paragraphes que j'ai trouvé trop longs et il était peut-être inutile de détailler autant. J'ai eu du mal à rentrer dans une grande partie du livre, mais quand Maxime rencontre Marianne, c'est devenu un peu plus facile et j'ai apprécié.
L'écriture de l'auteur est très belle et son vocabulaire est très riche, peut-être même un peu trop...
Une petite surprise personnelle, j'ai retrouvé mon département : l'Yonne. En le découvrant j'ai eu le sourire aux lèvres, ce n'est pas souvent qu'on le découvre dans les livres. Merci à l'auteur pour le petit clin d'œil de cette belle région.
Finalement, un livre que j'ai apprécié en demi-teinte, mais que je ne regrette pas d'avoir lu car la romance vaut le coup qu'on s'accroche. Cette dernière m'a tenue en haleine d'un bout à l'autre, génial!
J'ai eu beaucoup de mal à rentrer dans l'histoire. Le début est long, tout est lent à se mettre en place et on se demande même quand va arriver la "vraie histoire". C'est vers la 80ème page que j'ai commencé à apprécier. Le personnage principal entre enfin en scène et on se demande si elle va réussir, comment elle va gérer tout ce qu'on lui demande, et surtout, on se demande comment ça va se terminer...
C'est une belle histoire d'amour qui commence sous nos yeux mais bien trop détaillée à mon goût. Au fil des pages, je me suis attachée à Marianne, un jeune femme fragile mais qui veut à tout prix réussir sa mission pour son pays. Mais en réalité, elle n'est pas si fragile et son personnage évolue au côté de cet officier allemand qui m'a plus ou moins attendrie.
J'ai beaucoup aimé les pans légers de l'histoire de France. L'auteur parle des derniers mois de la seconde guerre mondiale, elle nous fait ressentir toutes les tensions qu'il peut y avoir autant du côté français que du côté allemand. Je n'aime pas les romans historique en général mais celui-ci est léger car il traite surtout d'amour ; de l'amour impossible entre une française résistante et un officier allemand.
J'ai apprécié la fin, elle est légère et nous laisse imaginer une suite...
Concernant l'auteur, je trouve qu'elle a un très beau style d'écriture et on voit très bien qu'elle s'est vraiment documentée sur cette période historique, on dirait même qu'elle y était et qu'elle nous fait revivre des moments de sa vie. Elle a su retranscrire les évènements, les doutes et les espoirs de chacun des 2 camps.
Merci à Carole Declercq de m'avoir confié son livre.