Les eaux troubles du mojito, Philippe Delerm

Par Bouquinovore @bouquinovore

Auteur:Philippe Delerm Titre Original: Les eaux troubles du mojito Date de Parution : 20 août 2015 Éditeur :Seuil ISBN: 978-2021056501 Nombre de pages : 128 Rentrée Littéraire 2015 Prix : 14,50 €
Commandez sur Amazon: Les eaux troubles du mojito Commandez sur Amazon: Les Eaux troubles du mojito (Version Kindle) 10,99€ Commandez sur Fnac: Les eaux troubles du mojito


Quatrième de couverture : Elles sont nombreuses, les belles raisons d’habiter sur terre. On les connaît, on sait qu’elles existent. Mais elles n’apparaissent jamais aussi fortes et claires que lorsque Philippe Delerm nous les donne à lire.Goûter aux plaisirs ambigus du mojito, se faire surprendre par une averse et aimer ça, contempler un enfant qui apprend à lire en bougeant imperceptiblement les lèvres, prolonger un après-midi sur la plage...« Est-ce qu’on est plus heureux ? Oui, sûrement, peut-être. On a le temps de se poser la question. Sisyphe arrête de rouler sa pierre. Et puis on a le temps de la dissiper, comme ce petit nuage qui cachait le soleil et va finir par s’effacer, on aura encore une belle soirée
Mon avis :C’est en 1997, que je découvert Philippe Delerm avec La Première Gorgée de bière et autres plaisirs minuscules, que j’avais adoré l’époque, je reconnaissais ces petits plaisirs minuscules que Delerm avait su exprimer avec tant de poésie. Pour la Rentrée Littéraire 2015, Philippe Delerm a retenté l’opération en nous proposant les eaux troubles du mojito. Et cette fois ci, je n’ai pas retrouvé ces saveurs qui m’avais fait adorer La Première Gorgée de bière et autres plaisirs minuscules, trop parisien sur certains souvenir, rien qui ne m’entraine dans cette agréable nostalgie.
Est-ce mon amour pour la première gorgée qui ne me laisse pas apprécier ce deuxième opus, je ne sais pas. Mais il faut reconnaitre cependant à l’auteur une plume magnifique.
Pour conclure et ne pas rester sur une note négative, je vous dirais que ce recueil est de bonne signature, à lire ne serait-ce que pour la poésie qui ressorte des mots de Philippe Delerm.