Éditions Le Livre de Poche (2009), collection : Policier/Thriller – 376 pages
Mot de l’éditeur :
À Bruges, la bijouterie Degroof a été cambriolée. Rien n’a été volé, mais le malfaiteur a fondu tous les bijoux dans un bain d’acide. Sa signature : un énigmatique message en latin… L’enquête est confiée au commissaire Van in, un flic buté étranglé par ses dettes, au sale caractère et à l’humour caustique. Amateur d’art, de cigares, de bières et de jolies femmes, il n’a pas son pareil pour déjouer les affaires les plus tordues. Avec Versavel, jumeau d’Hercule Poirot à l’homosexualité revendiquée, et Hannelore Martens, substitut du procureur affriolante et ambitieuse, Van In plonge dans la grande bourgeoisie brugeoise où il ne fait pas bon déterrer les secrets enfouis…
Mon avis :
Cette enquête commence par un casse dans une bijouterie dont le propriétaire de celle-ci n’est pas n’importe qui puisque, c’est un des hommes des plus puissants de Bruges. C’est alors, que Van In pense immédiatement à une vengeance contre cette importante famille et comme il pense que la victime sait quelque chose sur les coupables, il se voit donc retirer de l’affaire. Mais, un membre de la famille du bijoutier ayant été enlevé et demandant une rançon peu ordinaire, Van In reprend donc les choses en main en compagnie d’Hannelore Martens avec laquelle débute une histoire d’amour.
J’ai trouvé l’intrigue très bien ficelée et le fait qu’elle traite d’un secret de famille m’a encore plus ravie. De plus, les rebondissements sont nombreux et les dialogues rythment bien le récit dont, le dénouement nous est parfaitement bien expliqué. Quant au commissaire Van In, on ne peut que l’apprécier car il est atypique et devient au fil des pages très attachant.
En conclusion, j’ai passé un très bon moment avec ce policier, il m’a plongé à merveille dans la ville de Bruges en compagnie d’attachants protagonistes dont j’ai hâte de retrouver dans une nouvelle enquête.
Ne donne jamais l’impression à des subordonnés que tu doutes. Sois ferme en toute circonstance.
On dit toujours qu’on peut connaître quelqu’un aux livres qu’il lit.
Le professionnalisme n’a rien à voir avec l’apparence.
La mémoire est un labyrinthe, un embrouillamini de ruelles intriquées où les souvenirs errent sans répit. Mais que l’un d’eux rencontre subitement un élément neuf, et une idée originale peut soudain jaillir.
C’est grâce à Sharon que j’ai découvert Pieter Aspe et donc le commissaire Van In, je vous invite alors à lire ses chroniques sur les livres qu’elle a lu de cet auteur ICI.