Après des années passées à encaisser les humiliations, les coups et la violence de l'homme qu'elle aimait plus que tout, Margot prend la décision de s'enfuir de chez elle.

Lors de sa fuite elle va faire la connaissance du mystérieux Dylan Lorenz et va sans le savoir prendre des décisions qui changeront sa vie à tout jamais.

Prise entre les secrets de cet homme et ses mensonges, Margot saura-t-elle survivre ?

A-t-elle pris la bonne décision en lui faisant confiance ?

Deux épisodes très riches en émotions, encore plus que les deux premiers.

Entre Dylan et Margot c'est très fort et en même temps ils se font souffrir l'un l'autre, aucun des deux ne sait vraiment où il en est. Elle, elle sait qu'elle le veut, et même qu'elle l'aime, mais lui ne ressent pas vraiment de l'amour pour elle, c'est plutôt une attirance physique. De plus elle ressemble tellement à sa femme disparue que cela le freine.

Au lieu de les reconstruire, cette "relation" aurait plutôt tendance à les détruire encore plus qu'ils ne le sont déjà.

Lors d'une soirée, Margot fera la connaissance de Marc. Lors de cette même soirée, elle vera Dylan avec une autre femme.

Forcément cela la fera souffrir, mais qu'en est-il de lui en la voyant en compagnie de Marc?

Dylan souffre également de la voir en charmante compagnie, mais pourtant il ne fera rien, si ce n'est d'encore empirer les choses déjà pas simples.

Dans ces deux épisodes, encore plus que dans les précédents, j'ai eu l'envie de secouer Dylan pour qu'il ouvre enfin les yeux sur ce qu'il a devant lui. Le bonheur est parfois simple à trouver, alors pourquoi avons-nous tendance à toujours tout compliquer?

Tout les rapproche, mais les éloigne en même temps.

Margot va vouloir prendre son indépendance pour ne plus dépendre de Dylan, c'est Eva qui va l'y aider.

Elle et Dylan ne se verront plus, mais cela les aidera t-il à se reconstruire, ou cela aura l'effet inverse?

Des personnages attachants, mais en même temps on a l'envie de les secouer, et je vous avoue qu'à ce stade ce serait même l'auteure elle-même que j'aurais envie d'étrangler. Une seule hâte au moment où j'écris cette chronique : la suiiiiiiiiiiiite !

Merci à L.S. Ange pour sa confiance et ses merveilleux moments que je passe à la lire. Merci également pour ce service presse.