Éditions Le Livre de Poche (1995), collection : Classiques de Poche – 637 pages
Mot de l’éditeur :
Aux trois gentilshommes mousquetaires Athos, Porthos et Aramis, toujours prêts à en découdre avec les garde du cardinal de Richelieu, s’associe le jeune gascon d’Artagnan fraîchement débarqué de sa province avec pour ambition de servir le roi Louis XIII. Engagé dans le corps des mousquetaires, d’Artagnan s’éprend de l’angélique Constance Bonacieux. en lutte contre la duplicité et l’intrigue politique, les quatre compagnons trouveront en face d’eux une jeune Anglaise démoniaque et très belle, Milady, la redoutable espionne du Cardinal. d’Artagnan seul échappe à ses agents. Mais rapportera-t-il à temps à la reine de France Anne d’Autriche les ferrets qu’elle a remis à son amant, le duc de Buckingham ?
Chef-d’œuvre d’Alexandre Dumas et modèle du roman historique, Les trois Mousquetaires demeure un des livres les plus lus dans le monde entier.
Mon avis :
C’est un véritable plaisir de suivre nos quatre compagnons dans leurs aventures chevaleresques et, plus on avance dans l’histoire plus on apprend à mieux les connaître car, Alexandre Dumas nous les décrit avec brio et donc, on s’attache très vite à eux ainsi qu’à leur laquais.
Aussi, ce qui fait tout le charme de ce roman c’est qu’il mêle des personnages et faits historiques bien réels en incorporant des complots d’État, des amours secrets… Et, les embuscades menées par le Cardinal et Milady, que doivent déjoués nos quatre héros, rendent l’intrigue vraiment palpitante et captivante.
De plus, l’écriture de l’auteur est très fluide et j’ai aimé aussi le fait qu’il s’adresse directement à nous au cours des chapitres en nous signalant par exemple, que sur tel ou tel point il y reviendrai plus tard nous en dire davantage.
En conclusion, j’ai passé un excellent moment avec ce roman historique remplit de rebondissements, alors oui il peut être un peu long à lire mais, il se lit facilement car il n’y pas de temps mort et malgré l’époque à laquelle il a été écrit, la plume de l’auteur reste très compréhensible car il emploie des mots simples et efficaces. Bref, c’est un chef-d’œuvre que je vous recommande vivement de lire !
On n’a rien à craindre de ceux qui vous aiment.
Ce qui est perdu pour aujourd’hui n’est pas perdu pour l’avenir.
L’on pense à ce que l’on peut et non pas à ce que l’on veut.
Ne confondons pas la prudence avec la poltronnerie ; la prudence est une vertu.
Plus on a engagé, plus l’on gagne quand on sait attendre.
La vie est un chapelet de petites misères que le philosophe égrène en riant.
La violence est une preuve de faiblesse.