Le village où les enfants ne riaient plus – Nathalie Le Gendre

Un grand merci aux éditions Oskar !

Éditions Oskar (2015), collection : Aventures – 55 pages

Le village où les enfants ne riaient plusÀ partir de 8 ans

Mot de l’éditeur :

Louise est une petite fille comme toutes les petites filles de la Terre.
Elle aime rire et s’amuser.
Elle aime les câlins et les sucreries.
Elle aime aussi aller, lors des vacances d’été, à la ferme de sa grand-mère où elle passe ses journées dehors avec les vaches, les chevaux, les lapins, ou à patauger dans l’eau fraîche de l’étang avec ses amis.
Sauf que cet été, et Louise ne le sait pas encore, rien ne se déroulera comme elle le prévoit…

Mon avis :

Comme chaque vacances d’été, Louise part chez sa grand-mère, mamie Mélie. Arrivée à la gare, elle constate que les rues sont silencieuses et qu’un nouveau magasin a fait son apparition sur la place. Elle va être aussi surprise de ne pas voir ses amis Violette et Clément l’accueillir à la gare.
Durant ses vacances, elle va voir un oiseau qui aboie, un chat qui pépie…et ses amis ont la mine triste, préférant rester dans cette étrange boutique devant des jeux vidéos avec un casque sur la tête, que d’aller jouer dehors. C’est alors que mamie Mélie et sa petite-fille vont percer le mystère de cet inquiétant magasin.
L’intrigue de ce roman est vraiment bien menée et, Louise et sa grand-mère sont vraiment des personnages très attachants. Et même si, on se doute de ce qui va se passer, l’histoire est prenante et nous fait passer un bon moment surtout, que l’action est bien présente.
De plus, ce roman a pour but de faire comprendre aux enfants qu’il ne faut pas abuser de jeux vidéos afin, de ne pas se retrouver enfermer dans un monde irréel, les éloignant ainsi de leurs proches.
En conclusion, c’est une lecture que je recommande vivement aux plus jeunes et aux parents, afin de comprendre l’importance à bien choisir les jeux vidéos et de ne pas en abuser. Car, je pense qu’il est important à l’enfant de s’épanouir avec ses amis à l’extérieur plutôt, qu’à se couper du monde en restant enfermer chez lui.

bien

oskar-éditeur