La vérité est ailleurs, ainsi parlait Fox Mulder.
Et tel un épisode de X-Files le dimanche soir (glauque), ce tome 2 des éveilleurs nous emmène... heuu...ailleurs. Mais alors bien, bien ailleurs. Il me semble avoir perdu une partie de mes neurones dans cet ailleurs, à essayer de comprendre qui, quoi, quand, mais où est donc Ornicar.
La fin du tome 1 m'avait semblé un peu trop abstraite, ce n'était pourtant qu'un hors d'oeuvre en comparaison de la suite. Vous l'aurez compris, Pauline Alphen m'a perdue en cours de route, je n'ai pas retrouvé la poésie, l'amour des mots qui m'avaient enchantée dans Salicande.
Claris se retrouve a priori (rien n'est sûr) sur une île, ayant perdu la mémoire et se baladant à moitié nue sur la plage.
Ne me demandez pas où se trouvent Ugh et Jad, parce que je cherche encore, tout ce que que je peux vous dire c'est qu'ils ne sont pas morts, mais qu'ils participent à un concert improvisé avec l'ange Gabriel. (je vous avais prévenu)
Pas certain que je lise le tome 3, si je le fais ce sera par curiosité et avec l'espoir d'un retour d'Ailleurs.
J'aurais vraiment pu vous donner la recette de mon Cake magique avec ce livre, elle convient parfaitement ! Mais bon je vais m'abstenir. Hihi.