Nous n'irons plus au bois.

PRESENTATION DE L'AUTEUR :

Grande dame du suspense, Mary Higgins Clark règne sur le thriller anglo-saxon. Elle est traduite dans le monde entier, tous ses livres sont d'énormes succès de librairie et plusieurs de ses romans ont été adaptés pour la télévision.

Nous n'irons plus au bois.

Editeur du livre : Albin Michel.

Edition du livre : Le livre de Poche.

Date d'édition du livre : 1995.

Nombre de pages : 310.

QUATRIEME DE COUVERTURE :

Laurie Kenyon, vingt et un ans, est arrêtée pour le meurtre de son professeur. Tout l'accuse sans doute possible. Cependant Laurie ne se souvient de rien.

Sarah, elle, refuse de croire sa soeur coupable. Avec l'aide d'un psychiatre, elle va peu à peu faire revivre le terrible passé de Laurie : son enlèvement à quatre ans, les violences qu'elle a subies, les graves troubles de la personnalité qu'elle a développés depuis, à son insu. Mais, au même moment, le danger rôde à nouveau : le couple kidnappeur, qui a retrouvé sa trace, redoute ses révélations...

La romancière de La Nuit du renard, Grand Prix de littérature policière 1980, nous entraîne dans un suspense où se mêlent à chaque page l'angoisse, les cauchemars de l'enfance, la folie.

Je n'avais pas vraiment hâte de lire ce livre car j'ai eu l'impression que toute l'histoire était racontée dans la quatrième de couverture. A cause de cette impression, je n'ai pas aimé ce livre, je n'ai pas réussis à être à fond dans ma lecture.

J'ai trouvé qu'il y avait beaucoup trop de personnages. Pour Laurie, je ne l'ai pas trouvé attachante du tout, malgré ce qui lui arrive.

Au niveau de l'intrigue, je ne l'ai ps trouvé très présente, il y avait trop de détails sur la maladie de Laurie. J'ai trouvé le récit lourd de détails donc et très lent : je ne suis pas du tout "fan" du style d'écriture de Mary Higgins Clark.

C'est donc un avis négatif dû à la trop grande présence de la partie psychologique et dû au fait que l'histoire nous soit déjà raconté dans le résumé.