Bonjour bonjour!

Cela faisait un moment que je n’avais pas trouvé le temps de vous livrer la fin de la nouvelle, alors voilà, cette fois je vous donne tout d’un coup! ;)

Deux semaines passèrent et cela recommença, cette rage sourde qui me tordait les entrailles. Cette fois, j’avais des raisons on ne peut plus raisonnables! Mon patron avait osé me licencier, moi et 29 autres personnes! Mais surtout, MOI!! Qui bossait dans sa boîte depuis quinze ans de ma misérable vie! Je rentrai à pied pour essayer de me calmer avant d’arriver à la maison. C’est, visiblement, peine perdue. Je pénètre dans la maison encore sur les nerfs. Et là, je n’en crois pas mes yeux… Mon gamin se fout vraiment de ma gueule! Il a remis sa peluche sous la moquette! Cette fois s’en est trop, je prends une chaise et donne un grand coup dessus. J’ai à peine le temps de la voir disparaître que je m’effondre sur le sol, et que je tombe dans les pommes, avec une douleur fulgurante qui me lacère le dos.

Lorsque je sort de mon inconscience, ma colère est toujours présente, mais cette fois dirigée contre cette peluche sous mon tapis. Elle état encore et toujours là. J’allais chercher un couteau, mue par une douleur sourde. Je retournai devant la bosse et le plantai violemment. Soudain, ce fut le noir.

Lorsque je me réveillai, le sombre m’entourai. On ne voyait rien du tout, mais alors rien de chez rien, quedale! Je paniquai, puis me détendit. Et je me mis à attendre. Tout à coup, quelqu’un trébucha sur moi. Quelque chose ou quelqu’un souleva le voile noir. C’était ma femme! Je tentai de lui faire un grand sourire mais aucune partie de mon visage ne bougea. Elle hurla. Je vis dans ces yeux écarquillés d’horreur le tableau qui se déroulait sous ses yeux : Moi, un couteau planté dans le coeur, sous la moquette.

FIN