4ème de couverture
Jane Eyre est pauvre, orpheline, pas très jolie. Pourtant grâce à sa seule force de caractère, et sans faillir à ses principe, elle parviendra à faire sa place dans la société rigide de l’Angleterre victorienne et à trouver l’amour.
Une héroïne qui surmonte les épreuves sans perdre foi en son avenir, une intrigue où se succèdent mystères et coup de théâtre, une passion amoureuse qui défie tous les obstacles : le plaisir de lire Jane Eyre est toujours aussi vif. Comme elle, on veut croire que rien n’est écrit d’avance et que la vie réserve des bonheurs imprévus.
Mon avis :
Oui le style littéraire est excellent, fluide. Le vocabulaire est soutenus et c’est un livre agréable à lire.
Oui la description de l’Angleterre victorienne que ce soit les normes ou le paysage est extrêmement bien faite.
Oui les discours sur la « liberté » de la femme et la possible égalité entre les sexes devaient être très mal perçues à l’époque de l’édition du roman.
Non, je n’ai pas aimé car tout est trop lent, rien ne se passe et le fait de rattaché tous les sentiments à des choix religieux. La religion est trop prégnante dans ce roman pour qu’une athée comme moi puisse accepter les choix de Jane. Je sais qu’elle ne fait que répondre au diktat de l’époque mais je n’ai pas suffisamment réussi à m’imprégner de l’atmosphère pour adhérer.
Finalement je me suis retrouvé à faire un parallèle entre les films et les livres….tout comme les jeunes qui ont besoin d’action dans ce qu’ils regardent j’ai besoin qu’il se passe quelque chose dans ce que je lis. Or là j’ai difficilement lu plus de 500 pages sur ….rien, juste le quotidien et la naissance d’un amour…ce fut long.
Je m’excuse d’avance pour les fans de Jane Eyre mais même si je reconnais de grandes qualités à ce livre je me suis ennuyée.