Après, graphiquement, c’est toujours le même plaisir de retrouver ce trait reconnaissable au premier coup d’œil, ces plans larges fourmillant de détails, ces cadrages atypiques, cet art de croquer sur le vif des attitudes particulièrement expressives. Superbe aussi cette vue du ciel insérée en milieu d’album dans un « plan » dépliable et détachable, comme cela était déjà le cas dans Manabé Shima.
Du positif donc, surtout dans le plaisir intact de retrouver un dessinateur incroyablement talentueux. Mais au final, je suis resté sur ma faim.
L’île Louvre de Florent Chavouet. Futuropolis, 2015. 96 pages. 20,00 euros.
L'avis de Mo', bien plus argumenté et enthousiaste que le mien !