J'aime beaucoup les romans de Thierry Cohen, surtout " J'aurai préféré vivre ".
Alors imaginez mon plaisir lorsque j'ai été sélectionné par Babelio pour recevoir et critiquer Avant la haine, son dernier roman paru chez Flammarion.
Ce roman est une belle histoire d'amitié, de plus il nous permet de découvrir l'immigration des années 70 du point de vue de l'immigrant, sa peur de ce monde nouveau, un pays avec des coutumes et des habitudes totalement différentes des siennes.
Puis la rencontre du musulman et du juif, ils viennent tous les deux du Maroc, leur famille respective ne s'intègre pas automatiquement de la même façon, mais une belle et forte amitié va les lier l'un à l'autre.
Un roman enrichissant sur bien des points de vues, en cette période de trouble et d'incompréhension.
Cependant j'ai eu quelques réticences quant à ce que vivent les deux protagonistes, ils rencontrent à tout bout de champs des " fachos ", des " skins ", des partisans d'Hitler...
Si je ne vivais pas en France et que je connaissais pas les Français, je pourrai croire que dans les années 70, tous étaient antisémites. Je pense que ce qui m'a gêné, c'est que Raphaêl et Mounir, ne rencontrent que haine et rejet de l'étranger.
Mais je ne préfère pas rentrer trop profondément dans le sujet, c'est mon ressenti, je vous laisse vous faire votre propre opinion.
Une lecture, que je suis heureuse de terminer, car bien que les sujets sérieux et d'actualité ne me dérangent pas, j'ai ressenti un malaise durant une certaine partie de ma lecture.
Aimons nous, apprenons à vivre tous ensemble, paix et amour, seront mes mots de conclusion.
Alors imaginez mon plaisir lorsque j'ai été sélectionné par Babelio pour recevoir et critiquer Avant la haine, son dernier roman paru chez Flammarion.
Ce roman est une belle histoire d'amitié, de plus il nous permet de découvrir l'immigration des années 70 du point de vue de l'immigrant, sa peur de ce monde nouveau, un pays avec des coutumes et des habitudes totalement différentes des siennes.
Puis la rencontre du musulman et du juif, ils viennent tous les deux du Maroc, leur famille respective ne s'intègre pas automatiquement de la même façon, mais une belle et forte amitié va les lier l'un à l'autre.
Un roman enrichissant sur bien des points de vues, en cette période de trouble et d'incompréhension.
Cependant j'ai eu quelques réticences quant à ce que vivent les deux protagonistes, ils rencontrent à tout bout de champs des " fachos ", des " skins ", des partisans d'Hitler...
Si je ne vivais pas en France et que je connaissais pas les Français, je pourrai croire que dans les années 70, tous étaient antisémites. Je pense que ce qui m'a gêné, c'est que Raphaêl et Mounir, ne rencontrent que haine et rejet de l'étranger.
Mais je ne préfère pas rentrer trop profondément dans le sujet, c'est mon ressenti, je vous laisse vous faire votre propre opinion.
Une lecture, que je suis heureuse de terminer, car bien que les sujets sérieux et d'actualité ne me dérangent pas, j'ai ressenti un malaise durant une certaine partie de ma lecture.
Aimons nous, apprenons à vivre tous ensemble, paix et amour, seront mes mots de conclusion.
Deux enfants, un juif, un musulman, deviennent amis.
Ils grandissent, apprennent, se découvrent, s'intègrent. Ils ont des rêves, des espoirs, des luttes communes. Des amours aussi.
Puis apparaissent les fissures, naissent les désaccords, s'expriment les ressentiments, s'insinue la violence.
Jusqu'où ?
Jusqu'à la haine ?
Avant, Raphaël et Mounir se voyaient comme des frères.
Peuvent-ils renouer avec l'amitié dont ils étaient si fiers... ou bien est-il déjà trop tard ?