Ciao, ciao !
Je continue dans ma lancée ! Il y a quelques jours je vous parlais de ma visite au Musée d’Art Moderne de Paris dans où j’ai pu faire l’exposition Andy Warhol, aujourd’hui, c’est de la Fondation EDF et du Palais de Tokyo dont je vais vous parler.
Alors déjà, qu’est-ce que la Fondation EDF ? Encore un illustre bâtiment perdu dans Paris duquel on ne connait rien ? Et bien oui ! Perdue à Sèvre Babylone et donc non lui de ma Fac, la Fondation EDF a pour vocation de soutenir les actions positives faites par les citoyens français. Son but premier est « d’aider à construire un monde plus solidaire, juste et humaine ».
C’est bien beau tout ça, mais concrètement, en terme d’art, ça donne quoi ? Et bien ça donne la tête dans les nuages ! Pardon ? Oui, oui, vous avez bien entendu, sur les deux étages composant le bâtiment de la Fondation, la chose la plus marquante a été un cube en verre, bien gardé par deux vigiles, dans lequel se trouvait un escalier en aluminium. Un gros nuage (fait par une machine semblable à celle qui produit le brouillard dans les salles de concerts) occupait un tiers de l’espace. Si bien que lorsque l’on entrait dans la pièce, et à mesure que l’on montait l’escalier, on traversait le nuage et nous nous retrouvions au-dessus une fois en haut. Oui, je sais, ce n’est pas grand chose, mais j’ai trouvé cela plutôt intéressant, et assez ludique. Après tout, ce n’est pas tous les jours que l’on traverse des nuages !
Le reste de l’exposition portait sur l’eau, vapeur, fontaines et autres fabrications ayant attrait à ce thème. J’avoue, je ne l’ai pas fait, j’avais un bus à prendre. Mais j’ai trouvé cela plutôt amusant. Sinon, si cela vous intéresse, en ce moment, il y a une rétrospective sur le Street Art !
Bien, petite aparté mis à part, je voulais vous parler du Palais de Tokyo. Je profite de mon ami amateur d’art contemporain pour y aller. Seule, ce n’est vraiment pas le genre de musée qui me tente, je préfère largement le musée d’Orsay, ou bien évidement le Louvre !
Bon, et le Palais de Tokyo, il sert à quoi ? Et bien, c’est un musée, ou plutôt un anti-musée, ouvert depuis 2002, se trouvant juste en face de notre belle Tour Eiffel, présentant exclusivement des œuvres d’artistes contemporains. Un lieu qui nous met face à l’art du temps, et nous laisse interagir avec, de manière parfois chaotique. Les très grands espaces nous permettent une immersion totale dans cet art, et nous fait réfléchir, sur l’art, sur sa portée, son message, sur nous…
Mon article ne sera pas réellement comme les autres expositions. Je n’ai pas réellement de choses à dire sur le palais de Tokyo en tant que tel, ni sur ce que j’y ai vu. Si réellement, j’ai fais quelques découvertes, elles sont assez personnelles, donc il n’y a pas vraiment lieux d’en parler ici. Voilà, les expositions auxquelles j’ai assistées :
- Les photos de maison représentent une performance de deux acteurs sur le thème de l’amour et de la passion, dans l’un des plus grands décors vivants jamais construit.
- Les photos représentant des lampes sont d’une artiste qui nous demandait de réfléchir à ce que l’on pouvait faire d’un grand espace, et du pouvoir que pouvait avoir les autres sur nous, par Mélanie Matranga.
- Le reste fait parti d’une exposition faite pour les photos, avec des jeux de lumières et de trompe l’oeil.
- Et enfin, les quelques vagues de l’œuvre de Ragnar Kjartansson, qui rassemble en plus de cela, des films plutôt insolites, tirés de l’œuvre d’un poète islandais célèbre et Prix Nobel : Halldór Laxness
- L’oeuvre de John Giorno (les messages colorés), qui s’inspire du travail sur le pop art d’Andy Warhol pour ses oeuvres.
Je vous laisse donc profiter de ces photos un peu en vrac, qui vous raconteront pour le coup, mieux que moi, les rétrospectives du Palais de Tokyo.
J’espère que cela vous aura plu ! Je vous fais des bisous !!
Rose.
@crédit photo : Jacky ;)