Éditions Harlequin (2015) – 343 pages
Mot de l’éditeur :
Pour Noël, je voudrais… une famille !
Devenir maman. C’est le rêve de Suzanne, et bientôt une réalité. En effet, pour Noël, elle accueillera enfin dans sa maison les deux enfants adorables qu’elle vient d’adopter. Alors, tandis qu’elle décore son foyer avec amour et que les émotions se bousculent dans sa tête, elle éprouve soudain l’envie irrépressible de partager la grande nouvelle avec quelqu’un, là, tout de suite ! Cédant à son élan, elle se précipite dehors et tombe sur son plus proche voisin, Tom Stefanec ― un homme qu’elle a jusqu’ici tenu à distance, tant elle le trouve froid et, même, un peu mystérieux…
Mon avis :
Suzanne dont la vie ne lui a pas fait de cadeaux souhaite réaliser son rêve, c’est-à-dire avoir des enfants et, pour cela elle décide d’en adopter car, s’étant remise de sa séparation de son ex-mari et ayant retrouvé son frère Gary et sa sœur Carrie que la vie avait séparé suite à l’accident de leurs parents quand ils étaient enfants, le besoin de fonder une famille devient primordial pour elle. Mais, une fois qu’elle a les enfants à sa charge, elle est quelque peu débordée par les tâches que cela demandent alors, Tom, son voisin va l’épauler et petit à petit ils vont devenir proche l’un de l’autre. Suzanne va même se rendre compte qu’elle s’était trompée sur l’image qu’elle s’était faite de lui et, va se surprendre elle-même à l’apprécier.
« Quand le bonheur scintille » est avant tout une très belle histoire de famille, où chaque personnages a besoin de se sentir entourer. De plus, la relation entre Suzanne et ses enfants adoptifs est très réaliste car rien n’est simple au début et qu’il faut un certain temps pour que des liens se tissent entre eux. Quant à Tom et Suzanne, leur histoire d’amour est tout simplement magnifique, ce sont deux êtres qui ont peur d’aimer et qui sont véritablement attachants.
En conclusion, ce roman dont l’ambiance de Noël nous est très bien retranscrite, est magnifique, sans prises de tête et, je l’ai trouvé encore plus à la hauteur que le résumé pourrait le présager. Bref, c’est un joli roman que je ne peux que vous recommander de lire en cette période de l’approche des fêtes de fin d’année, il met du baume au cœur.
On sent que c’est le bon moment tout en ignorant pourquoi.
La violence, la grossièreté, en général, mettent les gens dans de mauvaises dispositions.
Tous les adolescents commencent par se rebeller contre les valeurs incarnées par leurs parents. Mais une fois la crise passée, ils retrouvent bien souvent le chemin de la maison et finissent par adopter un mode de vie pas si éloigné de leurs aînés.
Chacun fait comme il peut et lutte avec ses propres armes.
Quand on commence à craindre la vie même, alors tout devient difficile.
Quand on vient de perdre quelqu’un de cher, on s’en veut d’éprouver de la joie, du plaisir, tout le monde ressent ça.
Il y a dans l’amour quelque chose de spontané, d’inexplicable. Soit on le ressent, soit on ne le ressent pas.