Résumé :
La vie de Juliette Arabella est construite autour de deux commandements : le chocolat tu vénéreras, la famille des Mezzanote tu mépriseras !Pour le premier, aucun souci : le chocolat, pour elle, c’est une passion. Et elle n’est jamais plus heureuse que lorsqu’elle travaille ses merveilleuses truffes dans l’atelier familial. Car, dans sa famille, on est maître chocolatier de père en fille.Pour le deuxième commandement, ça se complique. Car si son père radote sans cesse à propos du statut de parvenus des Mezzanote, elle-même n’a rien à leur reprocher. D’ailleurs, toutes ces histoires commencent sérieusement à lui courir sur le cacao. Et si, pour une fois, elle cessait d’être Juliette Arabella l’héritière-d’un-empire pour être juste Juliette ? Alors, ce bal masqué organisé par de riches notables de la ville tombe à pic : enfin une occasion de faire la fête en tout anonymat, comme une fille normale ! Oui, mais voilà, quand on va à un bal masqué, on ne sait jamais sur qui on va tomber. Et avant de se laisser séduire par Leonardo-tout-court, Juste-Juliette ferait peut-être bien de soulever le masque…
Première phrase : Juliette Arabella n'avait qu'un seul désir, s'enfuir le plus loin possible de cette soirée qui, décidément, s'annonçait désastreuse.
Dernière phrase : Sous le soleil de la vallée de Napa, ses lettres étincelaient.
Moi j'en dis : Une histoire délicieuse comme un désert au chocolat, librement inspiré du Roméo et Juliette de Shakespear !
Léo et Juliette se sont rencontrés à un bal masqué. Alors que chacun est sorti pour prendre l'air et échappé au poids de leurs entourages, ils vont se rencontrer, se plaire et se séparer. Finalement, au cours de cette même soirée, ils vont être amenés à se croiser et être présentés. Manque de chance pour eux : leurs noms de familles ne sont pas compatibles. Leurs familles se vouent une haine sans limite depuis deux générations. Mais avant ça leurs grands-mères étaient liées d'une amitié sincère, plus proche que des soeurs, elles ont tout partagé : notamment une petite boutique de création/ vente de chocolat. Un conflit a séparé les familles et depuis chaque famille est restée dans le domaine du chocolat, mais chacun de son côté.
Le chocolat, c'est une passion familiale. Nos deux héros, sont des maîtres chocolatiers de renom, que leurs familles poussent à s'affronter pour que le meilleur gagne. La compétition est rude, mais l'intérêt c'est qu'ils vont se croiser souvent.
J'ai particulièrement adoré Léo pour son honnêteté. Il s'assume complètement, dit ce qu'il pense, fait ce qu'il a envie.. il s'est affranchi (enfin quasiment) de sa famille. Face à lui, Juliette est beaucoup plus introvertie, elle ose à peine dire non à ses parents. Quand elle commence à prendre sa vie en mains, toute sa famille s'estime le droit de lui donner son avis.. elle doute beaucoup, à peu confiance en elle et ses choix. Elle semble aussi douce que fragile. Léo et Juliette ont une multitude de points communs (c'était presque trop) notamment une famille complètement envahissante, aveuglée par la haine et la colère.
J'ai adoré les héros, ils sont simples et authentiques. C'était agréable de suivre dans leurs expériences culinaires autour du chocolat (j'ai passé toute ma lecture à avoir envie de boire un chocolat chaud), dans la conquête de l'un et l'autre et dans leurs questionnements sur le poids familiales et sur la légitimité de la transmission des conflits.
Verdict : Un roman simple, savoureux et charmant !
N'oubliez pas, c'est mon avis : Aimez, détestez, peu importe respectez.Au plaisir.
La vie de Juliette Arabella est construite autour de deux commandements : le chocolat tu vénéreras, la famille des Mezzanote tu mépriseras !Pour le premier, aucun souci : le chocolat, pour elle, c’est une passion. Et elle n’est jamais plus heureuse que lorsqu’elle travaille ses merveilleuses truffes dans l’atelier familial. Car, dans sa famille, on est maître chocolatier de père en fille.Pour le deuxième commandement, ça se complique. Car si son père radote sans cesse à propos du statut de parvenus des Mezzanote, elle-même n’a rien à leur reprocher. D’ailleurs, toutes ces histoires commencent sérieusement à lui courir sur le cacao. Et si, pour une fois, elle cessait d’être Juliette Arabella l’héritière-d’un-empire pour être juste Juliette ? Alors, ce bal masqué organisé par de riches notables de la ville tombe à pic : enfin une occasion de faire la fête en tout anonymat, comme une fille normale ! Oui, mais voilà, quand on va à un bal masqué, on ne sait jamais sur qui on va tomber. Et avant de se laisser séduire par Leonardo-tout-court, Juste-Juliette ferait peut-être bien de soulever le masque…
Première phrase : Juliette Arabella n'avait qu'un seul désir, s'enfuir le plus loin possible de cette soirée qui, décidément, s'annonçait désastreuse.
Dernière phrase : Sous le soleil de la vallée de Napa, ses lettres étincelaient.
Moi j'en dis : Une histoire délicieuse comme un désert au chocolat, librement inspiré du Roméo et Juliette de Shakespear !
Léo et Juliette se sont rencontrés à un bal masqué. Alors que chacun est sorti pour prendre l'air et échappé au poids de leurs entourages, ils vont se rencontrer, se plaire et se séparer. Finalement, au cours de cette même soirée, ils vont être amenés à se croiser et être présentés. Manque de chance pour eux : leurs noms de familles ne sont pas compatibles. Leurs familles se vouent une haine sans limite depuis deux générations. Mais avant ça leurs grands-mères étaient liées d'une amitié sincère, plus proche que des soeurs, elles ont tout partagé : notamment une petite boutique de création/ vente de chocolat. Un conflit a séparé les familles et depuis chaque famille est restée dans le domaine du chocolat, mais chacun de son côté.
Le chocolat, c'est une passion familiale. Nos deux héros, sont des maîtres chocolatiers de renom, que leurs familles poussent à s'affronter pour que le meilleur gagne. La compétition est rude, mais l'intérêt c'est qu'ils vont se croiser souvent.
J'ai particulièrement adoré Léo pour son honnêteté. Il s'assume complètement, dit ce qu'il pense, fait ce qu'il a envie.. il s'est affranchi (enfin quasiment) de sa famille. Face à lui, Juliette est beaucoup plus introvertie, elle ose à peine dire non à ses parents. Quand elle commence à prendre sa vie en mains, toute sa famille s'estime le droit de lui donner son avis.. elle doute beaucoup, à peu confiance en elle et ses choix. Elle semble aussi douce que fragile. Léo et Juliette ont une multitude de points communs (c'était presque trop) notamment une famille complètement envahissante, aveuglée par la haine et la colère.
J'ai adoré les héros, ils sont simples et authentiques. C'était agréable de suivre dans leurs expériences culinaires autour du chocolat (j'ai passé toute ma lecture à avoir envie de boire un chocolat chaud), dans la conquête de l'un et l'autre et dans leurs questionnements sur le poids familiales et sur la légitimité de la transmission des conflits.
Verdict : Un roman simple, savoureux et charmant !
N'oubliez pas, c'est mon avis : Aimez, détestez, peu importe respectez.Au plaisir.