Avant de vous lancer dans un tour du monde littéraire et érotique avec le recueil " Parades " de Pascal Malosse, nous avons extrait cette nouvelle, " Signer blanc ", qui sera le point de départ de votre périple sensuel et qui vous amènera au Japon dans le seul but d'enivrer en totalité vos sens.
"Signer Blanc" est une nouvelle courte tirée du recueil "Parades". Une nouvelle de onze pages où les sens s'éveillent en douceur. Direction le Japon, à la découverte de la sensualité. La plume de l'auteur est vraiment très particulière, un style bien différent de ce que j'ai l'habitude de lire.
Dans ce genre l'auteur est très doué, l'érotisme a pour but de suggérer des actions qui sauront vous émouvoir, Après son rendez-vous d'affaire il aurait dû retourner chez lui...mais au lieu de ça...il a accepté l'invitation de cet homme...sur quelles motivations ? Que va-t-il découvrir une fois qu'il sera arrivé à bon port ? Que lui réserve cet homme ? Pourquoi l'avoir invité ?
Vous aurez les réponses lors de votre lecture, je ne peux rien vous dire de plus si ce n'est que vous allez passer un bon moment.
Il faut absolument que vous découvriez cette nouvelle, elle saura vous mettre l'eau à la bouche. J'ai vraiment hâte de découvrir le reste du recueil. Je pense que je vais me délecter des mots de l'auteur. Le genre de lecture qui ne me laisse pas indifférente de par son originalité, son charme et son histoire mystérieuse.
"Je me rappelai la décision prise de rester quelques jours de plus, après les nombreux rendez-vous d'affaires dans les vastes et vitreux bureaux du centre-ville. Je regrettais de ne pas être à bord d'un avion en partance pour Singapour, où se situait le siège régional de ma société, afin de passer un week-end tranquille à la maison, affalé sur mon canapé, en face de l'écran qui me permettait de me projeter dans le vide et le repos absolu. J'avais accepté l'invitation de cet homme, représentant d'une imposante compagnie Japonaise et avec qui je négociais un contrat d'envergure.
Nous ne pouvions nous soumettre à leurs conditions et ils restaient inflexibles. Je sentais que tous ces efforts ne menaient à rien. Pourtant quelque chose dans son regard m'avait convaincu de rester, de courber mon dos en guise de remerciement et de partir vers les montagnes. Quelque chose en dehors des rôles figés que les entreprises et l'ordre humain nous avaient assignés..."