La semaine dernière j'ai reçu de l'auteure Cathy Galliègue son livre "Aime-moi... comme tu es" publié aux éditions Kawa.
"Emmanuelle n'imaginait pas quitter la beauté sauvage de son Jura, sa belle vie à l abri du besoin, son mari anglais... et se retrouver dans le XVIème arrondissement parisien. Le contraste fut violent. Il y avait forcément un sens caché à cet exil. Un but ultime. Quelque chose. Ou quelqu'un. Emmanuelle était une rêveuse. Elle croyait fermement que le bonheur, si on le veut vraiment, on va le chercher avec les dents ! Elle espérait une surprise, de la fantaisie, un cocon protecteur en dehors des conventions, un héros qui la soulèverait de terre. Mais elle n avait pas intégré la version militaire, flic ou pompier à la liste de ses possibles. Et pourtant, Tom est arrivé. Un homme qui redoutait l'amour plus que la mort. Un homme du GIGN. L'histoire de cette femme morcelée et de cet homme en noir ira bien au-delà de ce qu une histoire d amour peut raconter. Il aura fallu la lutte, la souffrance, puis l'acceptation. Il aura fallu se faire mal pour enfin se faire du bien. "Aime-moi comme tu es", le suppliait-elle tout bas"
Présentation de l'auteure (par l'auteure) : "J’ai été la complice de l’industrie pharmaceutique pendant de longues années. Ma plume s’épuisait dans la fastidieuse analyse et traduction en anglais de rapports de pharmacovigilance. Du coup, j’ai un anglais médical très pointu mais je suis presque incapable de tenir une conversation de tous les jours. La gestion des cas d’effets indésirables a développé chez moi des effets secondaires irréversibles. Ma furieuse envie d’écrire a refait surface. Je l’avais mise à l’épreuve pendant quelques années à travers un blog, mais j’étais dans ma zone de confort,un format court, parfois percutant. Je le maitrisais sans trop de difficultés. Me lancer dans l’écriture d’un roman m’effrayait mais m’appelait, comme un besoin irrépressible. Il me fallait un prétexte, un sujet assez passionnant pour que je me jette dans le gouffre sans trop flipper. Je suis l’épouse d’un homme qui était au début de l’écriture de ce roman, un membre du GIGN. Toute la difficulté était de ne pas en dire trop, mais de mettre en lumière la vie pas très banale des femmes qui partagent le quotidien de ces hommes. Je me suis laissée embarquer dans ma propre histoire en allant bien au-delà d’une histoire d’amour tout en évitant aux lecteurs de boire la tasse dans l’eau de rose.J’ai collé ma démission, presque certaine que cette mise en danger serait profitable, et que si je voulais qu’un jour un éditeur me suive, il fallait d’abord que je croie en moi."Aime-moi… comme tu es" es publié depuis le mois de juin aux Éditions Kawa, une maison spécialisée dans la publication d’ouvrages marketing, qui a ouvert une collection Premiers romans. J’avais à peine mis le point final à ce roman qu’il me fallait partir à l’assaut d’un nouveau texte.Ce roman 100% jus de crâne, Le gazon des fous, explore les méandres de ce que les psychiatres appellent le délire confuso-onirique, que d'autres préfèrent considérer comme les mystères sans réponse de l'âme humaine. Il y est surtout question de la puissance de l'amour et des mots, de l'Italie, de la force de l'esprit, qui refuse de se laisser enfermer dans un hôpital psychiatrique et d’y brouter… le gazon des fous. Il est actuellement entre les mains de quelques éditeurs. J’espère pouvoir vous donner de bonnes nouvelles très bientôt.Je pense déjà au suivant, qui sera une suite de "Aime-moi… comme tu es". Il y sera question d’Amazonie, d’aventures, de déracinement et bien sûr, d’amour…Je vis depuis un mois à Cayenne, j’y ai suivi mon mari qui est maintenant dans un groupe d’intervention détaché en Guyane. Je sais que désormais mon métier est l’écriture, n’en déplaise à ceux qui me demandent « mais sinon, tu as un vrai métier ? »"
"Aime-moi... comme tu es" est disponible depuis le 1er juin 2015 en version broché (21,95 €) et numérique (13,99 €) sur le site de l'éditeur Kawa, mais aussi sur Amazon, Fnac et dans toutes les bonnes librairies. Retrouver l'auteure et son univers sur sa page Facebook
Ma chronique sur ce roman sera publiée courant janvier.