Dieu me détesteAuteur:Hollis Seamon.Edition: 10/18.Publié en: 2015.Genre:Contemporain.
New York, hôpital Hilltop. Richard sait qu'il ne fêtera pas ses dix-neuf ans, mais il a une furieuse envie de vivre ! Et d'embrasser Sylvie, la jolie fille de la 302... Contre la montre, le corps médical et sa famille toquée, ce Roméo casse-cou décide donc de flamber ses derniers rêves. Jusqu'à jouer son destin au poker, dans un des plus beaux bluffs jamais montés contre le sort... Ode explosive à l'adolescence et à l'amour, défiant la maladie et ses clichés, ce roman bouleversant offre une leçon d'humour ravageuse et une extraordinaire leçon de vie. Je ne sais pas si j’ai aimé ou pas ma lecture. J’avoue que le livre est assez spécial et en même temps, j’ai de plus en plus de mal avec les livres qui parlent de gamin malade… De ce fait, je l’ai lu en diagonale durant bien la moitié du livre, j’avais du mal à adhérer aux personnages et à l’histoire, puis il y a un événement qui a fait que je me suis mise à lire normalement. C’est ce moment-là qui a fait que j’ai aimé un peu plus les personnages et que je me suis accrochée à l’histoire, mais il a fallu attendre la moitié du livre pour cela. Après j’ai quand même aimé la légèreté des choses, la façon dont l’auteur au travers du point de vue de Richard, elle arrive à faire passer des sentiments assez contradictoires. Mais j’ai surtout aimé cette petite pointe d’humour que l’on a durant toute notre lecture. Et le personnage de Sylvie y contribue beaucoup. La fin est un peu abrupte et ne finalise pas vraiment le livre, mais comme nous savons comment cela finit pour eux, finalement ne pas avoir de mot permet de rester sur la note humour qui nous a accompagnés durant notre lecture.En conclusion, un avis assez bref mais en même temps, j’ai eu du mal à le lire. Je pense que c’est une lecture agréable, si on aime ce genre-là. Pour ma part, je n’ai aimé qu’un quart du livre. Mais je retiens surtout l’humour qui nous accompagne durant notre lecture, même si on ne rigole pas forcément, cela permet d’alléger notre lecture et rend l’assimilation des choses un peu plus facilement. Une fin un peu abrupte, mais qui reste à l’image du livre. 2/5