Le blog Un chocolat dans mon roman organise une lecture commune du roman Le Nom de la rose d’Umberto Eco. Car en effet, « Que ceux qui n’ont jamais lu ou eu l’intention de lire ce livre lèvent le doigt ! ». Pour des raisons d’organisation et afin de permettre à tous de participer, le dépôt des billets, les discussions et autres débats s’étaleront de mars 2016 à Mai 2016. Les inscriptions et le suivi se passent sur la page de la lecture commune ou sur Livraddict.
Présentation de l’éditeur :
C’est d’abord un roman policier, un vrai, un grand polar, qui sort à jets savamment cadencés d’une plume que se disputent Conan Doyle et saint Thomas d’Aquin : une « série noire » pour amateur de crimes en série et de criminels hors pair qui ne se découvrent qu’à l’ultime rebondissement d’une enquête allant, en humour et en cruauté, malice et séductions érotiques, train d’enfer dans un lieu voué au silence, à la chasteté, à la prière. Car oyez, oyez, bonnes gens : c’est le moine qu’on assassine. Tout advient en l’espace de sept jours (une mort violente par jour) dans la très sainte enceinte d’une abbaye bénédictine située entre Provence et Ligurie, en l’an de grâce et de disgrâce 1327. En arrivant dans le havre de sérénité et de neutralité que devrait être cette abbaye – admirée de tout l’Occident pour la science de ses moines et la richesse de sa bibliothèque, l’ex-inquisiteur Guillaume de Baskerville, accompagné de son secrétaire Adso de Melk, se voit prié par l’Abbé de découvrir au plus vite qui a poussé un de ses moines à se fracasser les os au pied des vénérables murailles. C’est le premier des sept assassinats qui seront scandés par les heures canoniales de la vie monastique, danse de mort autour d’une bibliothèque interdite d’où se feront entendre les sept trompettes de l’Apocalypse, le rictus du Diable et le rire d’Aristote. Et le verbe du commencement rejoint le mot de la fin dans une parabole sanglante et risible où s’inscrit l’histoire de l’humanité.
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