« Pécheurs, pécheurs, fuyez à toutes jambes, ne regardez point en arrière, fuyez ce monde, sans quoi vous serez consumés ! »
Difficile de parler de cet incroyable roman. Son titre, Corrosion, est parfait puisque le lecteur va faire l'expérience de cette réaction chimique qui consume petit à petit l'humanité de ses personnages.
Expérience, toujours, qui consiste également à déboussoler son lecteur avec une seconde partie faisant office de rupture et nous embarquant vers une autre histoire. Un plongeon dans le brouillard de la folie.
Alors on se questionne, on s'interroge. Et puis on commence à voir les rats apparaitre à la périphérie de notre chant de vision.
Traduit par Anatole Pons, Corrosion de Jon Bassoff est dans le parfait prolongement d'un autre roman de la collection NéoNoir des éditions Gallmeister : L'Enfer de Church Street par Jake Hinkson. Deux romans vénéneux, brûlants qui ne laissent aucune place à l'optimisme. Deux véritables plongées en enfer.
Corrosion est le premier roman d'un auteur dont il faudra retenir le nom : Bassoff, deux S deux F !
« Il était difficile de distinguer le jour de la nuit, difficile de distinguer le sommeil de l'insomnie, difficile de distinguer la folie de la raison. »
Présentation de l'éditeur :
Un vétéran d'Irak au visage mutilé tombe en panne au milieu de nulle part et se dirige droit vers le premier bar. Peu après, un homme entre avec une femme, puis la passe à tabac. L'ancien soldat défiguré s'interpose, et ils repartent ensemble, elle et lui. C'était son idée, à elle. Comme de confier ensuite au vétéran le montant de l'assurance-vie de son mari qui la bat. Ce qu'elle n'avait pas réalisé, c'était qu'à partir de là, elle était déjà morte.
Frédéric Fontès, www.4decouv.com
Difficile de parler de cet incroyable roman. Son titre, Corrosion, est parfait puisque le lecteur va faire l'expérience de cette réaction chimique qui consume petit à petit l'humanité de ses personnages.
Expérience, toujours, qui consiste également à déboussoler son lecteur avec une seconde partie faisant office de rupture et nous embarquant vers une autre histoire. Un plongeon dans le brouillard de la folie.
Alors on se questionne, on s'interroge. Et puis on commence à voir les rats apparaitre à la périphérie de notre chant de vision.
Traduit par Anatole Pons, Corrosion de Jon Bassoff est dans le parfait prolongement d'un autre roman de la collection NéoNoir des éditions Gallmeister : L'Enfer de Church Street par Jake Hinkson. Deux romans vénéneux, brûlants qui ne laissent aucune place à l'optimisme. Deux véritables plongées en enfer.
Corrosion est le premier roman d'un auteur dont il faudra retenir le nom : Bassoff, deux S deux F !
« Il était difficile de distinguer le jour de la nuit, difficile de distinguer le sommeil de l'insomnie, difficile de distinguer la folie de la raison. »
Présentation de l'éditeur :
Un vétéran d'Irak au visage mutilé tombe en panne au milieu de nulle part et se dirige droit vers le premier bar. Peu après, un homme entre avec une femme, puis la passe à tabac. L'ancien soldat défiguré s'interpose, et ils repartent ensemble, elle et lui. C'était son idée, à elle. Comme de confier ensuite au vétéran le montant de l'assurance-vie de son mari qui la bat. Ce qu'elle n'avait pas réalisé, c'était qu'à partir de là, elle était déjà morte.
Frédéric Fontès, www.4decouv.com