Le principe de ce rendez-vous est simple, il faut répondre à trois questions chaque lundi:
1. Qu’ai-je lu la semaine passée ? 2. Que suis-je en train de lire en ce moment? 3. Que vais-je lire ensuite ?J’ai connu ce rendez-vous sur le site de Galléane et je me suis dis pourquoi ne pas participer, même si mon débit de lecture n’est pas aussi volumineux que le sien ;-).
Bonjour à toutes et tous. Je vous souhaite une très belle année 2016, puisse-t-elle vous apporter la joie de vivre, l’amour de vos proches, une très – mais alors très – bonne santé. Et puis que cette année soit une riche année de lecture remplie de tendres découvertes livresques ou de frissonnants romans. Qu’elle vous apporte cette évasion, ces rêve qui nous font du bien et agrémentent notre quotidien pour oublier le côté obscur et se tourner vers la lumière ( non non pas d’influence de Star Wars dans cette phrase). Je vous souhaite à tous que des belles choses, des sourires et des rires, des larmes mais de joie, des câlins pour se sentir aimer et apprécier.
Vous avez pu remarquer ma discrétion ces derniers temps, il y a une raison à cela, j’ai réussi un écrit de concours et je suis donc admissible à l’oral. J’ai donc levé le pied pour me consacrer aux révisions, alors pendant ce mois de janvier je serais encore pas mal distant et je m’en excuse d’avance, mais ce concours représente une opportunité en or pour moi et ma famille alors c’est ma priorité.
Je vous dis à très bientôt.
Ma dernière lecture :
Le goût du large Nicolas Delesalle
C’est grâce au Livre de Poche et aux éditions Préludes que j’ai reçu ce roman, je l’ai dévoré. Un beau moment d’évasion que de suivre l’auteur dans ses souvenirs, face à des situations dramatiques et devant lesquelles il a continué à garder l’espoir.
Le temps : tout était là, dans ces cinq lettres, cette simple syllabe. J’allais soudaine en être riche, ne plus courir après, le nez rivé sur l’ordinateur, le téléphone. Pendant 9 jours, j’allais devenir un milliardaire du temps, plonger les mains dans des coffres bourrés de secondes, me parer de bijoux ciselés dans des minutes pures, vierges de tout objectif, de toute attente, de toute angoisse. J’allais me gaver d’heures vides, creuses, la grande bouffe, la vacance, entre ciel et mer.
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