Le Jeudi, c’est… Jeu « livresque » !

Par Entre Les Pages @EntreLesPages

Inspiré par d’autres jeux autour des livres, cette édition du Jeudi, c’est… Jeu « livresque »! prend sa source chez Virginie du blog BoOk’Inn Sofa qui propose chaque semaine une question, un sujet en lien avec les livres et le blogueur. Entre Les Pages la suit ! Cette semaine place à :

Les chroniques les plus difficiles à écrire

 

Étrangement (ou pas !), ce ne sont pas les livres que j’ai le plus aimés dont j’arrive à parler le plus facilement. L’amour est un sentiment si beau et si irrationnel (si, si…) qu’il m’est parfois impossible de mettre des mots sur ce que j’ai ressenti face à une lecture. Si je trouve la plupart du temps des explications liées aux technique narratives employées par les auteurs, je ne veux pas non plus m’attarder uniquement sur cela. Mais parfois, il n’y a tout simplement pas de moyens d’expliquer pourquoi j’ai trouvé un livre si fabuleux ou si extraordinaire ou si édifiant. Alors, je tente de le faire entre synonymes, références et phrases un peu « étranges » de mon cru. Parce qu’évidemment, j’ai aussi envie de convaincre les autres lecteurs d’ouvrir ces livres qui m’ont fait vibrer. Et cela fait aussi parler du challenge.

C’est un autre problème mais il est aussi parfois difficile d’écrire les chroniques d’un énième tome. Si le contenu des aventures est heureusement différents, le mode opératoire est en général le même et le sentiment final identique aux lectures précédentes. Voilà pourquoi je ne « critique » pas certains tomes ou que j’en chronique plusieurs en même temps. Je me dis toujours que les chroniques ne doivent pas me satisfaire que moi. Qu’elles doivent aussi être utiles à ceux qui la lisent. Il y a donc alors un équilibre à trouver. Pour terminer, les critiques des livres des livres que j’ai moins aimés ne sont pas plus faciles à rédiger pour autant. Je fais bien sûr la liste de ce qui m’a moyennent plus, de ce qui m’a dérangée, mais j’aime aussi prendre du recul, rester subjective et trouver autant d’éléments positifs que possible. Car je n’oublie que tout livre est le résultat d’un travail. Que tout livre peut plaire. Qu’aucun entrain ne doit être complètement gâcher. Peut-être atténué par une forme de déception. Mais c’est tout.