Nous pourrions faire des comparaisons entre le nombre d’albums publiés, vendus, d’adaptations ciné.
Nous pourrions dire qu’il y a une femme et deux hommes.
Nous pourrions parler de longévité de carrière.
Non.
Nous allons juste dire que les trois finalistes, Claire Wendling, Alan Moore et Hermann, du Grand Prix d’Angoulême sont finalistes parce qu’ils le méritent. Toutes et tous.
Ils ont été choisis par la profession, leur travail a été salué par leurs pairs.
Ils ont tous eu une influence suffisante pour être finalistes.
La seule chose que nous pouvons dire, c’est… « Le prochain Grand Prix ne fera pas des courbettes ».
Anthony Roux