Titre : Flash – De l’avant
Auteur : Francis Manapul, Brian Buccellato
Traduction : ?
Date de publication : 2015-2016 (VO : 2011-2013)
Édition : Eaglemoss
Synopsis : Frappé par la foudre et aspergé de divers produits chimiques, l’agent de police scientifique Barry Allen devient subitement l’homme le plus rapide du monde. Il décide alors de mettre ses pouvoirs extraordinaires au service de la justice, sous l’identité du Flash. Et l’occasion d’éprouver ses nouveaux talents ne se fait pas attendre : la ville de Central City est soudain plongée dans l’obscurité…
Avis : ★★★★✩
C’est la première histoire de Flash que je lis et je trouve que c’est un très bon début pour ma part. Je ne connais du personnage que ses apparitions dans d’autres séries (surtout la Justice League et Batman) et j’ai vu la première saison de la série TV donc je n’en sais pas beaucoup ! Pourtant, cet arc est tellement bien fait que ne me suis pas sentie perdue, c’est très compréhensible et très bien mené !
Barry commence à maîtriser de plus en plus la force véloce mais il se rend compte qu’il bénéficierait beaucoup à pouvoir aller plus vite encore. Un scientifique qu’il rencontre lui conseille d’entraîner son esprit, encore trop lent pour suivre son corps et tant qu’il ne pourra pas penser plus vite, il ne pourra pas dépasser ses limites.
C’est ce que Barry s’apprête donc à faire, tandis qu’il se retrouve sur les traces d’un de ses amis d’enfance, qu’il croyait mort depuis de nombreuses années. Il se trouve que Manuel a été l’objet d’expérimentations liées à la régénération mais que tout ne s’est pas passé comme prévu. Flash se retrouve donc mêlé à cette histoire, tout en essayant d’accélérer ses pensées (ce qui lui joue des tours) et de sauver Central City du chaos tandis qu’un champ électromagnétique a désactivé tout l’électronique et que la panique commence à emparer les habitants.
J’ai beaucoup apprécié le personnage de Manuel, mais surtout ses « acolytes » et la relation qu’ils entretiennent. Et puis, le dessin est fabuleux et accompagne vraiment l’histoire pour rendre tout ça beau mais aussi très fluide. Les jeux sur les cadres, les couleurs les zoom sont vraiment fascinants. Je recommande vivement donc (mais si vous avez la possibilité de prendre plutôt l’édition d’Urban Comics, ça vous évitera peut-être les pages mal découpées, encore une fois…).
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