On a reproché à
Jonathan Hobin d'utiliser ces sombres événements à des fins commerciales. Il s'en est défendu, son intention étant plutôt de dénoncer la violence des images transmises par les médias et de montrer l'impact qu'elles ont sur les enfants. Par son travail, il veut en finir avec le jeu de l'autruche: les enfants ne vivent pas dans un monde féérique à la Disney, où tout le monde est beau et gentil. Les enfants sont quotidiennement exposés «aux images des horreurs dont nous, les adultes, sommes responsables».