J’ai testé pour vous: passer un concours dans des conditions extrêmes!
C’était un jeudi. Jeudi dernier pour être précise.
Or, le jeudi, c’est pourri, tout le monde est d’accord.
Un jour de grève
La ligne B, oui, celle qui va à la maison des examens, pas une autre non, celle-là. En grève. Résultat: levée à 5h40 du matin, dans le bus à 6h15 et envie de dormir magistrale en pleine épreuve à 10h.
Sous la pluie
Et oui, parce que déjà, le jeudi c’est pourri alors autant rajouter la pluie!
Avec un rhume qui aurait terrassé Popeye
Lorsqu’on passe un examen collectif il y a toujours une personne un peu relou. Vous savez, cette personne qui tousse, qui se mouche très bruyamment toutes les deux minutes, qui trifouille dans sa trousse pour trouver un Doliprane. Et bien, cette année, cette personne, c’était moi!
Les sujets:
Voilà. Vous avez 4 h.
Par contre, je ne vous ferez pas l’affront de vous mentir en disant que j’étais prête, que j’avais bien bosser et que c’est à cause des raisons listées ci-dessus que je ne l’aurait pas, ce concours. Je vous rassure que je ne serai pas déçue de ne pas voir mon nom sur la liste des candidats admissibles dans deux mois. Mais c’était un bon entrainement et une bonne expérience!
Aller, on remet ça l’année prochaine!
Marion