La prophétie des runes, Tome 1

Par Entre Les Pages @EntreLesPages

Merci aux
éditions Gulf Stream !

Mogiane vit au cinquième siècle, l’Empire romain est alors sur le déclin. Elle est la fille du chef Gondebald qui lui a confié la protection de leur domaine avant de rejoindre les rangs de l’armée franque. Les Huns sont effectivement en train d’envahir le pays et celle-ci tente de faire face. A cela, s’ajoute un complot pour tenter de déjouer une prophétie en laquelle Mogiane croit fermement, celle qui dit que Childéric, fils de Mérovée, reviendra à la vie car c’est à lui qu’appartient le trône. Tout pendant qu’elle défend ses terres, Mogiane repense à une erreur du passé qui l’empêchera de trouver un époux. Mais elle regarde aussi très intensément Friedhelm, un des guerriers que Gondebald a laissé à ses côtés.

Mogiane ne fait évidemment pas ce qui est attendu de la part d’une jeune femme. Elle est forte, courageuse, suit son cœur et son instinct, apprend à se battre. Les combats, les légendes nordiques, l’amour et les surprises qui jalonnent sa quête divertissent sans temps mort. Après Le Passage des Lumières, Le Mystère de la Tête d’Or et La Malédiction de la Pierre de Lune, Catherine Cuenca signe ici une nouvelle aventure historique empreinte de croyances et d’éléments fantastiques. Un équilibre qu’elle maîtrise à la perfection. La prophétie des runes est une trilogie. La rouelle de feu en est le premier tome. Le tout est déjà original et captivant de bout en bout.

Présentation de l’éditeur :
« Disparu aujourd’hui, renaîtra demain, car doit régner la lignée de Mérovée. » Telle est la prophétie qui s’inscrit en runes de feu pour annoncer le retour du prince Childéric. Quatre ans plus tard, Mogiane veut croire que la prédiction s’accomplira. Si elle n’a plus l’espoir de trouver un époux depuis une erreur de jeunesse, elle a toujours celui de protéger le domaine de son père contre l’invasion des Huns et les complots de ses ennemis. Des ennemis prêts à tous les maléfices pour empêcher l’accomplissement de la prophétie.

Catherine Cuenca sur ce blog
L’interview de Catherine Cuenca