Le Joyau, HS.1 : La maison de la pierre Auteur:Amy EwingEdition: Robert Laffont (R)Publié en: 2015.Genre: Science-Fiction, Jeunesse.
Autant pour le premier tome, j’étais assez révoltée sur la façon dont ses femmes se comportaient avec leurs mères porteuses, mais là c’est encore bien pire. Vous pensez que Violet était maltraitée par moments, je peux vous dire qu’elle est plutôt bien lotie au final. Sur cette courte nouvelle, à mon plus grand regret, nous suivons le point de vue de Raven. Raven est un personnage qui ne se laisse pas facilement dresser. D’ailleurs, son fort caractère ne va pas forcément la desservir, mais je ne pense, qu’être docile ne l’aurait pas épargné non plus. Dans cette nouvelle, on se rend vraiment compte de la façon dont sont perçues les mères porteuses. On voit vraiment qu’elles sont de simples objets, d’ailleurs Raven est souvent nommé par le « ça » et non son numéro de lot. Elle n’a pas plus de valeur qu’un simple objet aux yeux de sa maîtresse. Mais rien que par cette façon d’agir de ces femmes, j’ai eu envie de savoir, même si j’étais révoltée, jusqu’où elles peuvent aller. Malheureusement, la nouvelle est bien trop courte et ne me permet pas d’explorer à fond ce côté assez obscur du Joyau.
En conclusion, une lecture assez révoltante et en même temps, vous avez envie d’étriper les personnages par leur comportement. Mais je pense que cette petite nouvelle est essentielle pour comprendre un peu plus la cruauté de ses femmes, que nous percevons déjà dans le premier tome, mais je trouve qu’il est beaucoup plus marquant sur cette simple nouvelle avec peu de pages. Le seul regret que j’ai, comme souvent, c’est que l’on n’a pas assez de pages et donc nous n’en savons pas plus sur ce qui se passe avec Raven, même si nous en déduisons un petit morceau. 5/5
Autant pour le premier tome, j’étais assez révoltée sur la façon dont ses femmes se comportaient avec leurs mères porteuses, mais là c’est encore bien pire. Vous pensez que Violet était maltraitée par moments, je peux vous dire qu’elle est plutôt bien lotie au final. Sur cette courte nouvelle, à mon plus grand regret, nous suivons le point de vue de Raven. Raven est un personnage qui ne se laisse pas facilement dresser. D’ailleurs, son fort caractère ne va pas forcément la desservir, mais je ne pense, qu’être docile ne l’aurait pas épargné non plus. Dans cette nouvelle, on se rend vraiment compte de la façon dont sont perçues les mères porteuses. On voit vraiment qu’elles sont de simples objets, d’ailleurs Raven est souvent nommé par le « ça » et non son numéro de lot. Elle n’a pas plus de valeur qu’un simple objet aux yeux de sa maîtresse. Mais rien que par cette façon d’agir de ces femmes, j’ai eu envie de savoir, même si j’étais révoltée, jusqu’où elles peuvent aller. Malheureusement, la nouvelle est bien trop courte et ne me permet pas d’explorer à fond ce côté assez obscur du Joyau.
En conclusion, une lecture assez révoltante et en même temps, vous avez envie d’étriper les personnages par leur comportement. Mais je pense que cette petite nouvelle est essentielle pour comprendre un peu plus la cruauté de ses femmes, que nous percevons déjà dans le premier tome, mais je trouve qu’il est beaucoup plus marquant sur cette simple nouvelle avec peu de pages. Le seul regret que j’ai, comme souvent, c’est que l’on n’a pas assez de pages et donc nous n’en savons pas plus sur ce qui se passe avec Raven, même si nous en déduisons un petit morceau. 5/5