(Gil Elvgren)
L’année 2016 commence sur les chapeaux de roue : ma dernière année en tant qu’étudiante ; les examens écrits de janvier ; mon stage ; ma vie personnelle. J’ai l’impression de ne pas arrêter. Pour autant, je me sens plus heureuse et épanouie. Du côté de mes lectures, le début d’année se fait plutôt prometteur. J’espère continuer sur ma lancée.
Les articles à ne pas manquer :
★ Première bougie du blog ; Swap avec Carnet Parisien
En ce début d’année, je suis allée trois fois au cinéma : Chocolat ; Star Wars épisode VII ; Zootopie.
(si vous souhaitez lire ou relire un billet, il vous suffit de cliquer sur la couverture correspondant au titre choisi) :
Manderley for ever de Tatiana de Rosnay, j’en ai appris énormément sur le vécu de la grande Daphné du Maurier. Je ne regrette donc pas ma lecture de cette jolie biographie.
Le second tome des Hauts de Hurlevent (version BD), j’ai à nouveau été séduite. J’ai même préféré cet opus au tout premier. Un bon moyen de découvrir l’intrigue du chef d’œuvre d’Emily Brontë pour tous les lecteurs qui n’osent pas encore sauter le pas.
La maison du péril d’Agatha Christie, une enquête mettant en scène Hercule Poirot. Une bonne dose de mystère, un soupçon d’humour, une sauce so british : j’ai à nouveau adoré. Sans compter que le final est on ne peut plus bluffant.
Je peux très bien me passer de toi de Marie Vareille, un roman girly doublé d’une lecture doudou. Avis aux fans de chick lit : foncez !
Les roses de Somerset de Leila Meacham, une intrigue partagée entre amour et secrets de famille. Je n’ai pas été convaincue à 100%. Si j’ai accroché à l’aspect historique de ce roman, je trouve qu’il verse parfois dans le « too much ».
Je n’ai pas non plus été totalement emballée par le premier tome du roman graphique Un village français. Le dessin est pourtant de qualité. Si ce tome 1 plante avant tout le décor, je me suis globalement ennuyée.
Recueil de nouvelles de Maupassant, les Contes de la bécasse évoquent le monde rural et les conditions de vie des paysans d’alors. J’apprécie toujours autant la plume réaliste et mordante de l’auteur. Pour autant, j’avais préféré ma lecture de Boule de suif.
Mes retrouvailles avec Anna Gavalda se sont soldées par une déception. Je n’ai en effet pas adhéré du tout à La vie en mieux, qui comprend deux courts récits. Ni les intrigues, ni la plume de l’auteure n’ont pu rehausser le tout.
Je vous souhaite de belles lectures pour l’arrivée (prochaine) du printemps. À bientôt pour de nouveaux billets !