Éditions Pocket (1997) – 436 pages
Mot de l’éditeur :
Comment réagira Annie Grave, vedette de la presse new-yorkaise, lorsque Grace, sa fille unique de 13 ans et son pur-sang, Pilgrim, seront fauchés par un quarante tonnes sur une route verglacée ?
Elle sera profondément bouleversée, et elle comprendra très vite que, pour sauver Grace, il faut empêcher le sacrifice de l’animal mutilé.
Alors délaissant tout, elle va partir à la rencontre d’un homme qui possède un don mystérieux. C’est là-bas, dans la splendeur du Montana, que vit Tom Booker, le « chuchoteur », celui qui comprend si bien les chevaux et s peu ses propres sentiments.
Mon avis :
À travers ce roman, Nicholas Evans nous plonge dans un merveilleux voyage dont les paysages du Montana nous ont si magnifiquement bien décrits, que l’on est littéralement transporté dans ces lieux où vivent des personnages attachants.
Parmi eux, il y a Tom pour qui l’on ressent toute de suite une véritable admiration, Annie qui d’habitude est une femme stressée va enfin prendre le temps de vivre chaque instants, et Grace dont son terrible accident l’a traumatisé va enfin retrouver le sourire. Ainsi, c’est durant ce voyage qu’Annie et sa fille vont réapprendre à se connaître.
Ce que j’ai avant tout apprécié c’est de suivre l’évolution de Pilgrim, car ses états d’âmes nous sont si bien retranscrits que l’on souhaite avant tout revoir l’affinité entre lui et Grace revenir.
« L’homme qui murmurait à l’oreille des chevaux » est un superbe récit touchant dans lequel on suit plusieurs histoires nous captivant toutes jusqu’au dénouement. De plus, même si certaines descriptions peuvent paraître longues, c’est elles qui font tout le charme de ce roman en nous entraînant dans l’univers de l’auteur.
En conclusion, la lecture de ce livre m’a totalement dépaysé et m’a aussi quelque fois émue. Bref, c’est un livre qui une fois commencé on n’a plus envie de lâcher tant c’est captivant !
Ce livre a fait l’objet d’une lecture commune avec Entre les Pages (voir son avis ICI) et Linda (voir son avis ICI)