La grande course de Nicolas Vanier

Par Severine Vialon @VIALONSeverine

La grande course

Livre

Résumé de la grande course :

« Il fait -40°C et il est 11 heures.
Encore six minutes, et c’est à nous.
— Du calme, les chiens !
Il va falloir maîtriser cette incroyable énergie,
celle de quatorze boules de muscles… »

Nicolas Vanier lâche son attelage. Devant lui, un défi immense : la Yukon Quest, la course de traîneau à chiens la plus difficile au monde. 1 600 kilomètres entre le Canada et l’Alaska, le long de la route de la ruée vers l’or. Des températures glaciales qui dépassent les -?50 degrés. Des vents qui vous renversent au premier relâchement. Un parcours accidenté exténuant.

Avec ses chiens, Miwook, Burka, Quest…, la fusion est totale. Très vite, pourtant, Nicolas Vanier, épuisé par le froid et l’absence de sommeil, doit aussi se séparer de cinq de ses compagnons. il pense même abandonner. Mais sa rage est plus forte !
Onze jours plus tard, l’aventurier entre dans le cercle très fermé des plus grands « mushers » du monde.

Cet exploit, Nicolas Vanier le dédie à ses chiens, les vrais héros, selon lui, de cette aventure extrême.

Mon avis :

La grande course est un livre que le Père Noël m’a apporté. Il connait bien mon gout pour les chiens et en particulier pour les chiens de traineaux. Je les aime beaucoup mais n’en ai pas car je ne pourrais leur offrir la quantité d’exercice dont ils ont besoin.

J’ai donc plongé dans ce livre avec joie et ce fut un très bon moment de lecture. Nicolas Vanier nous relate simplement son vécu d’une grande course à laquelle il a participé avec ses chiens. L’écriture est simple et fluide une fois qu’on a intégré le vocabulaire spécifique à cette activité. Nicolas nous y aide bien par ses explications dans le récit et par le glossaire à la fin du livre. Une fois tout bien mis en place, comme Nicolas fin paré, nous partons avec lui et le suivons dans ses joies, dans ses peurs, ses angoisses, ses interrogations. La seule chose que j’ai eu la joie de ne pas partager avec lui, c’est le froid qu’il a supporté. Moi j’ai lu, bien au chaud, près du poêle.

Le petit plus : les photos en couleur au milieu du livre qui nous permet de visualiser encore mieux la scène, et surtout, la carte qui nous permettent de le suivre. A chaque étape, je retournais la voir pour me rendre compte de la progression : où était-il ? Que lui restait-il à parcourir ?…

Je vous laisse la découvrir, je l’ai trouvé sur son site.

Le petit moins : j’ai trouvé dommage de savoir dès le début qu’il avait réussi à finir cette course. J’aurais  vécu la course plus à fond. Ses moments de doute n’en était pas vraiment pour moi, puisque je savais qu’il allait y arriver. Ne restait plus qu’à savoir comment.

Et maintenant, je vous invite à suivre Nicolas, vous venez ?

La course en photos :

Pensez à suivre la route à l’aide de la carte !

Départ de Circle

A Central

A Fairbanks

L’arrivée :

Merci à Olivia Robert de m’avoir envoyé ces photos qui nous permettent de voyager un peu avec Nicolas Vanier.

A bientôt Nicolas, dans une prochaine course que je veux bien suivre de loin, je suis trop frileuse pour supporter de telles températures. Mais un gros câlin avec un de tes chiens ne serait pas de refus !

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