Nicholas Sparks est l’un de ces auteurs américains qui fait un carton avec chacun de ses romans. Et bon nombre d’entre eux ont été adaptés au cinéma dont le plus connu est N’oublie jamais je pense. Moi j’en ai un autre, celui dont je vous parle aujourd’hui : Une bouteille à la mer.
C’est quoi le pitch Holly ?
Documentaliste dans un grand quotidien de Chicago, Theresa Osborne (Robin Wright Penn à l’époque … ça remonte un peu) se remet mal de son récent divorce et élève seule son fils Jason. Elle s’est promis de fuir l’amour mais le destin en a décidé autrement. Un jour, au cours d’une promenade sur une plage déserte, elle découvre une bouteille échouée contenant une déclaration d’amour déchirante et passionnée. Bouleversée par la poésie de ces quelques lignes, Theresa décide d’en retrouver l’auteur. Pour cela, elle la fait publier dans son journal. Elle reçoit alors des centaines de lettres pour la remercier d’avoir fait partager ceci avec eux mais parmi elles, deux sortent du lot. En effet, ceux-ci joignent deux autres lettres du même auteur. Avec cela Theresa atterrit dans une petite ville où elle rencontre Garrett (Kevin Costner), l’auteur des lettres…
On en pense quoi ?
Un film sublime ! Je ne me lasse jamais de le regarder. Une très belle histoire d’amour, menée par deux grands acteurs (franchement, je craque littéralement pour Kevin Costner (déjà qu’il était beau en Robin des bois alors en marin solitaire il est … bref !)). La fin me fait pleurer à chaque fois mais en même temps … presque tous les romans de cet auteur font pleurer alors c’est normal au final non ?
Cependant, j’ai lu le livre bien après mon premier visionnage (et ça remonte à quelques années) et j’ai finalement été déçue par le film et non le livre.
Pour commencer, beaucoup de choses ne colle pas avec le roman en particulier les lettres. J’ai trouvé cela dommage car les lettres du livres sont 100% plus touchantes que celles du film. J’ai pleuré en lisant les lettres du livre alors que pour celles du film, j’ai ressenti cela autrement. Probablement du fait que les lettres se soient pas véritablement visible (on entend la voix de Garrett). Voir les mots touchent bien plus ! Ensuite, ils ont un peu raccourci la « longueur » de l’histoire entre Garrett et Theresa mais ça c’est pas trop gênant (ça tire un peu en longueur dans le roman et en deux heures de film, faut vraiment couper). Ils ont aussi changé le nom du fils de Theresa bref, ils ont modifié des petits détails qui avaient pour moi une importance capitale dans l’histoire (je suis perfectionniste dans l’âme et j’accorde énormément d’importance à tout ça). Une fois le livre fini, j’avais qu’une envie, le relire à nouveau.
En conclusion
Malgré le fait que le film a quelques différences avec le livre, c’est un film à voir absolument ! Alors oui, vous avez adoré (ou détesté) N’oublie jamais, Cher John, La dernière chanson ou encore The lucky one (et dernièrement Chemins croisés avec Scott Eastwood, le fils de Clint (encore plus beau que son père)) et bien tentez donc la toute première et vous verrez. Mais surtout, lisez le livre !
A très vite pour une prochaine chronique.