Couverture provisoire.
En attente de trouver un éditeur.
Un attentat dans un métro, une série de meurtres inspirée par Nietzsche, des vies qui se croisent,
deux voix mystérieuses qui semblent détenir les clés.
A vous de trouver les bonnes portes...
Cette chronique, je l'avais logiquement programmée pour mardi, mais au vu des événements en Belgique (où je vis), je n'ai pas eu la force de la publier, j'ai préféré la reporter. Je tiens à m'en excuser auprès de Nicolas qui attendait ma chronique.
Dans cette histoire, une série de meurtre est commise, des meurtres qui ont apparemment un point commun. C'est donc un tueur en série qui sévit.
Au départ la seule chose commune est le fait que leur sang a été remplacé par de l'encre bleu.
Au fil des pages et de l'avancée de l'enquête, nous apprenons que ces meurtres sont inspirés par Nietzsche.
Des chapitres cours qui nous donnent une lecture rapide. Une plume qui ne mâche pas ses mots, cela donne une autre dimension à l'histoire, une dimension plus réelle, plus proche de la réalité. Mais cette plume peut également se montrer tendre quand il le faut, certains passages m'ont beaucoup touchée.
C'est avec cette histoire que je découvre le style de Nicolas, un style que j'ai adoré du début à la fin. Il n'a pas peur de choquer avec son franc parler, je suis certaine que "Je vais vous tuer" trouvera un éditeur prêt à se lancer dans l'aventure.
En tout cas je lui souhaites vraiment, son histoire le mérite.
Merci à Nicolas pour sa confiance.