Auteur:Nicolas ReyTitre Original: Les enfants qui mentent n’iront pas au paradisDate de Parution : 14 janvier 2016Éditeur :Au Diable VauvertISBN: 978-2846269674Nombre de pages : 160Prix : 14,50€Version Kindle : 4,99€
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Quatrième de couverture : Elle s’est rapprochée. Elle a reniflé son cou, sa nuque et ses oreilles. Ses lèvres se sont placées à quelques millimètres des siennes. Elle a chuchoté : «Tu savais que la lubricité est l’invention d’un bourgeois très à droite. Les gens de gauche échangent tellement de théories, qu’ils en oublient de baiser». Gabriel, écrivain quadra précaire épuisé par l’amour et la vie, tombe amoureux de Catherine, institutrice de son fils et membre du Parti National… Toute la grâce et l’impertinence de Nicolas Rey pour ce portrait d’un romantique désenchanté, plus actuel que jamais.
Mon avis :Un auteur gauchissant amouraché d’une institutrice fachissante, voilà en résumé ce que nous propose Nicolas Rey dans son dernier roman.
Encore une fois, l’auteur nous parle d’amour, ne vous y trompez pas, il n’est pas question ici d’un roman à l’eau de rose, avec des corps somptueux au bord de la plage. Mais des méandres de l’amour, ce qu’une personne est capable d’accepter de l’autre par amour. Perdre ses idéaux au fond des yeux de l’autre.
Je relevé une phrase dans ce roman, qui pour à mon goût résume bien le livre, cette façon de vivre intensément l’amour et se perdre en l’autre bien que cela ne dure pas.
« J’ai compris que lorsqu’on aimé vraiment quelqu’un, il fallait lui faire une confiance absolue. Bien sûr, les cyniques diront qu’en quelques jours, on peut tomber de haut. Et alors ? C’est peut-être ça, l’existence. Souffrir une vie entière pour vivre en haut et en pleine confiance quelques jours »
Ici tout est dit : « Souffrir une vie entière pour vivre en haut et en pleine confiance quelques jours », l’amour se résume dans l’abandon à l’autre et n’est au final qu’une tragédie.
Nicolas Rey me fait penser d’une certaine manière à Frédéric Beigbeder dans la trilogie de Marc Marronnier. Ils n’ont plus 30 ans, mais bien la quarantaine.
Que vous dire de plus peut être que si vous ne l’avez pas encore fait, de vous jeter dans la lecture de ce roman, certes court, mais intense.
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