En ce dernier dimanche du mois de Mars, je vous propose plusieurs citations extraites de « Et je danse, aussi » d’Anne-Laure Bondoux et de Jean-Claude Mourlevat.
Même si on ne rattrape jamais le temps perdu, on peut décider de ne plus ne perdre.
Si écrire était facile à expliquer, ce serait aussi facile à faire, alors que c’est difficile.
Le sommeil, c’est irrésistible, on ne peut pas lutter, sauf à se gifler violemment en poussant un cri d’auto-stimulation, mais au milieu du public dans une salle de cinéma ça passe mal.
Une raison de trouver que la vie est belle , c’est de pouvoir un matin annoncer à celui, celle, ceux qui ne sont pas encore debout, ou à soi-même si on est seul, cette nouvelle en trois mots : il a neigé.
L’art peut transcender, sublimer, nos malheurs devenant notre matière première.