Titre : La voleuse de livres
Auteur : Markus Zusak
Genre : Drame, Historique
Maison d’édition : Pocket
Date de parution : 20/03/2008
Nombre de page : 633
Nombre de tome : 1
Prix : 8.20 €
Leur heure venue, bien peu sont ceux qui peuvent échapper à la Mort. Et, parmi eux, plus rares encore, ceux qui réussissent à éveiller Sa curiosité. Liesel Meminger y est parvenue. Trois fois cette fillette a croisé la Mort et trois fois la Mort s’est arrêtée. Est-ce son destin d’orpheline dans l’Allemagne nazie qui lui a valu cet intérêt inhabituel ou bien sa force extraordinaire face aux événements ? A moins que ce ne soit son secret… Celui qui l’a aidée à survivre. Celui qui a même inspiré à la Mort ce si joli surnom : la Voleuse de livres…
Attention déception à prendre à la légère.
Pour commencer, j’ai abandonné ce livre (ça me frustre…), chose que je n’ai jamais faite jusqu’ici car ce n’est absolument pas dans mes principes, mais là ça faisait déjà une semaine que je l’avais commencé, j’en étais à 15 % de ma lecture et je n’accrochais absolument pas, c’est un livre super particulier à lire. Soit on accroche dès la première ligne, soit on abandonne de suite ; personnellement j’ai essayé mais sans grand succès, c’est la première fois que je lis ce genre de roman et ce n’est absolument pas une déception au niveau du genre mais plutôt au niveau du type de narration. Pourquoi ? Eh bien, comme je le disais, c’est particulier, car c’est la Mort qui nous raconte une histoire, qui, vous l’aurez compris, parle de la voleuse de livres qu’elle a croisée à trois reprises. Déjà, première déception, je pensais que l’histoire serait racontée par cette petite fille, là c’est la Mort et c’est assez particulier, pourtant l’histoire est très bien, mais ce type de narration est difficile pour réussir à accrocher. De plus, ce n’est pas un livre à mettre dans les mains de n’importe qui, du moins entre les mains de mineurs, c’est un livre complexe dont il faut comprendre les propos et qui, je pense, n’est pas accessible à des adolescents, enfin je ne trouve pas d’autres tournures de phrase pour dire qu’en gros, il faut avoir un peu plus de recul qu’au moment de l’adolescence ! Enfin voilà, surtout ne vous arrêtez pas à ma chronique puisque, comme je le disais, avec ce roman c’est soit tout noir soit tout blanc, j’ai pu voir des avis très positifs comme d’autres très négatifs, cela dépend des individus donc tentez l’expérience et voyez par vous même