Les lecteurs du Chat Qui Louche connaissent bien et estiment Jean-Marc Ouellet qui y publie des chroniques remarquables depuis plusieurs années. Sa profonde culture scientifique lui permet des incursions dans le réel et le fictif que peu d’écrivains peuvent se permettre avec profit. Chez Jean-Marc, la rigueur de l’homme de science s’allie tout naturellement à une sensibilité et à une intuition d’humaniste pour traiter d’un sujet bien d’aujourd’hui : la pollution de notre environnement par une surabondance d’ondes électromagnétiques.
Ses qualités rares d’observateur impartial, toutefois soucieux du bien-être des ses proches, de ses frères et sœurs humains, ont fait de sa dernière publication un roman policier original et prenant.
Son style sans heurts vous entraînera de page en page, et passeront des heures que vous ne verrez pas passer, captivés que vous serez par l’imprévu qui surgit et par des personnages attachants qui vous feront connaître un monde occulté qui, pour être caché, n’en est pas moins très vrai et préoccupant. (Alain Gagnon)
Page 4 de la couverture :
Une menace rôde, invisible, perfide. Elle n’épargne personne, elle tue. Elle est partout dans notre quotidien. Il s’agit des ondes électromagnétiques.
Alex Fournier est médecin. D’abord sceptique, de pénibles circonstances l’amènent à prendre conscience du danger. Il veut comprendre, se battre. Mais l’adversaire est puissant : étalant ses tentacules dans toutes les sphères de la société, repaire d’ambitieux sans scrupules, la mégacompagnie WBC est prête à tout pour préserver ses profits, pour consolider son monopole.
Un extrait critique :
Le roman policier Les griffes de l’invisible de Jean-Marc Ouellet vient tout juste de paraître en libraire, aux éditions Triptyque. Un court roman au suspens efficace et à l’intrigue policière soutenue. Un divertissement des plus palpitants.
Résumé
Une menace rôde, invisible, perfide. Elle n’épargne personne, elle tue. Elle est partout dans notre quotidien. Il s’agit des ondes électromagnétiques.
Alex Fournier est médecin. D’abord sceptique, de pénibles circonstances l’amènent à prendre conscience du danger. Il veut comprendre, se battre. Mais l’adversaire est puissant : étalant ses tentacules dans toutes les sphères de la société, repaire d’ambitieux sans scrupules, la mégacompagnie WBC est prête à tout pour préserver ses profits, pour consolider son monopole.
Je dois dire d’emblée que je ne suis pas une fervente adepte du roman policier. Cependant, cette histoire concoctée par Jean-Marc Ouellet m’a tenu en haleine du début à la fin. Est-ce parce que le ton et le rythme étaient soutenus? Est-ce l’intrigue très plausible et les revirements de situations imprévisibles qui m’ont gardé en alerte? Ou si c’est le fait que l’auteur est lui-même un médecin anesthésiologiste comme son héros et qu’il s’y connait beaucoup en science que j’ai embarquée dans son histoire? Je ne saurais le dire, mais je sais que j’ai passé un très bon moment de lecture.
Même qu’à la fin du roman, cela m’a donné des envies d’aller lire sur le sujet des champs électromagnétiques et je me suis posé des questions sur la technologie de nos jours. Un beau sujet de discussion assurément.
— Shirley Noël, Info-Culture.Biz
Notice biographique
Jean-Marc Ouellet grandit dans le Bas-du-Fleuve. Médecin-anesthésiologiste depuis 25 ans, il pratique à Québec. Féru de sciences et de littérature, de janvier 2011 à décembre 2012, il a tenu une chronique bimensuelle dans le magazine littéraire électronique Le Chat Qui Louche. En avril 2011, il publie son premier roman, L’homme des jours oubliés, aux Éditions de la Grenouillère, puis un article, Les guerriers, dans le numéro 134 de la revue Moebius. Chroniques d’un seigneur silencieux, son second roman, paraît en décembre 2012 aux Éditions du Chat Qui Louche. En août 2013, il reprend sa chronique bimensuelle au magazine Le Chat Qui Louche.