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Marlon est un jeune homme aux pensées suicidaires et anarchistes. Afin de quitter ce quotidien et ce monde qui ne lui convient pas, il ne trouve rien de mieux à faire que de rejoindre une organisation secrète lui permettant de se faire passer pour mort auprès de la société. Après avoir assisté à son propre enterrement, Marlon devra effectuer plusieurs tâches pour son organisation afin d'obtenir une somme d'argent suffisante pour recommencer une nouvelle vie ailleurs. Mais tout ne se passera pas comme prévu. Le seul espoir pour Marlon de s'en sortir semble être un détective privé sociopathe, alcoolique, obsédé sexuel, atteint de la maladie de Diogène, fan d'achats d'armes sur le "Dark Web" et dont le seul but est de gagner assez d'argent pour voyager à vie en Business Class. Comment Marlon va-t-il pouvoir s'en sortir sans laisser de plumes ?
Avec ce livre, l'auteur sort des sentiers battus grâce à son style complètement à part.
Il n'a pas peur d'aborder des sujets d'actualités, vous savez, les sujets qui fâchent. Mais il le fait avec brio, avec intelligence.
Son style est différent, il n'a pas peur des mots, et c'est pour moi, un régal de le lire. Je sais que ce livre ne plaira pas à tout le monde, mais je voudrais juste dire que la vie est tellement cruelle et crue, que cela ne devrait certainement pas vous choquer de lire ce que l'on entend déjà dans la vie de tout les jours, et parfois encore pire.
Vous regardez la télé, donc vous avez déjà regardé des films d'horreur, des films pouvant aller jusque dans le trash. Néant, c'est un peu ça.
Mickaël Parisi m'avait prévenue que pour le lire je devrais avoir l'esprit très ouvert, par chance je l'ai. De là, je me suis demandé sur quoi j'allais tomber comme histoire, bien qu'ayant lu le résumé, je ne voyais pas pourquoi cette mise en garde.
Eh bien en le lisant j'ai compris, mais pour ma part je n'y ai pas lu pire que ce qui est dans le réel, dans ce que l'on peut voir en regardant le journal à la télé.
Au contraire, moi j'ai aimé son style complètement barré, complètement décalé. Je dirais que nous avons ici un auteur qui se classe soit dans la catégorie génie pour oser écrire ce que la vie est, ou dans la catégorie fêlé du bocal qui en fait écrit mais se fout de ce que les gens vont penser de son livre. Franchement je penche pour la première, bien que la deuxième n'est pas du tout mal non plus car elle lui permettra de trouver son public qui le suivra quoi qu'il écrive.
Pour moi, eh bien je vais le suivre car il a simplement osé ce que beaucoup n'oseront jamais.
Merci à Mickaël pour sa proposition de service presse.