En ce mardi un peu tristounet je me suis dit qu’un bon thriller bien noir et bien tordu irait parfaitement dans le décor, alors je vous parle de ma lecture tout juste achevée Pretty Girls.
Date de parution : 24 Février 2016
Edition Mosaic
528 pages – 20.90€ TTC
Avis du poussin:
J’ai eu l’occasion de recevoir se livre dans le cadre d’une rencontre avec l’auteure, Karin Slaughter, organisé par Babelio et les Editions Mosaic que je remercie. D’ailleurs pour ceux qui ne l’auraient pas vu j’ai parlé la semaine dernière de cette rencontre sur le blog, voici le lien ici.
Durant ces 528 pages, oui c’est énorme, l’auteure nous mène véritablement en bateau, en effet quand on pense comprendre et avoir établi un bon brainstorming bien clair paf un coup de batte de baseball derrière la tête et tu te réveilles avec des morts ressuscités et une course contre la montre ou plutôt une course pour la vie.
Mais de quoi ça parle ?
Cela parle de la perversité d’un serial killer, de la confiance que l’on peut donner à tort ou à raison mais aussi de la reconstruction plus que sommaire d’une famille qui vit avec la disparition d’un de leurs membres.
Le livre est axé sur trois personnages importants Claire et Lydia, les deux sœurs et Paul le mari de Claire qui vient d’être assassiné. Sa mort va permettre à ces deux sœurs de se réconcilier ou tout du moins s’expliquer puisqu’elles vont se retrouver dans une galère sans nom.
Pour moi ce livre est en trois parties que je vais essayer d’expliquer brièvement et sans spoil, la première partie est celle de la découverte des personnages, de leur passé diffusé au compte goutte par l’auteure et de révélation . Et puis le livre s’essouffle un peu et nous entamons la deuxième partie celle où l’auteure m’a un peu perdue voir m’a presque donné envie de laissé tomber, un énorme rebondissement surgit et nous n’aurons les informations que bien plus tard ce qui est plus que troublant voir carrément dérangeant, et soudain tout s’emballe, on coure, on transpire, on a le cœur qui palpite, on évite de respirer pour ne pas faire trop de bruit et ce jusqu’au dernier mot.
Malgré ce petit essoufflement au milieu surement dû à la longueur du livre aussi, j’ai apprécié cette lecture, elle apprend à ne pas nous fier aux apparences et à ne surtout jamais se faire embarquer par une auteure qui vous ment du début à la fin.
Cela m’a donné envie de découvrir d’autre livre de cette auteure qui est très réputé aux États-Unis.
Connaissez-vous ce livre? Cette auteure?
Quatrième de couverture:
Deux sœurs. Deux étrangères.
Plus de vingt ans auparavant, Julia a disparu à seize ans sans laisser de trace. Depuis, Claire et Lydia, ses sœurs, ne se sont plus parlé. Seule la haine farouche qu’elles nourrissent l’une pour l’autre les rapproche encore. La haine, et le désespoir : jamais elles ne se sont remises de la tragédie qui a fracassé leur famille. Deux événements violents vont venir cruellement raviver leurs blessures mais aussi les obliger à se confronter : l’assassinat du mari de Claire, et la disparition d’une adolescente.
A tant d’années de distance, ces événements ont-ils un lien quelconque avec Julia ? Lasses de se faire la guerre, Claire et Lydia plongent dans la noirceur du passé familial. Une spirale sanglante…
Note du poussin:
3/5 Lecture agréable à éviter pour les sensibles de l’estomac et à acheter d’urgence pour les mordus de thriller