Festival Encres Vives à Provins

Par Lepoussin @delphineOSK

Coucou mes petits poussins, vous commencez à savoir que le jeudi je vous propose une petite virée, alors celui-ci ne dérogera pas à la règle, le 02 avril avait lieu le salon du livre dans le cadre du festival encres vives à Provins, alors allons-y en sifflotant !

Me voilà arrivée après une heure de route, à Provins, célèbre ville médiévale de Seine et-marne, mais pour cette fois je n’irais pas voir les donjons et les aigles car je me faufile vers le centre culturel pour assister au salon du livre qui clôture le festival encres vives, ce festival a lieu tous les ans sur une semaine et propose des interventions en milieu scolaire d’auteurs, illustrateurs, ainsi que des lectures musicales et un salon littéraire où des rencontres d’auteurs sont organisés.

Le salon ouvrait ses portes à 14 h, je n’avais pas spécialement repéré d’auteurs à voir c’était plus pour me balader et faire des découvertes. Une fois la porte de la salle franchit j’ai cru halluciné, un monde de dingues, des enfants en veux-tu en voila qui déambule sur les stands jeunesse, je m’arme de courage et je me dirige vers les auteurs de romans qui eux sont moins pris d’assaut, je fais la rencontre de Paula Haddad, une femme pétillante et drôle avec qui j’ai papoté hommes et rencontre sur internet, sujet de son livre, j’ai même pris une petite photo souvenir après une séance de coiffage « Dalida ».

Je continue et qui est là ? Delphine Bertholon, une auteure rencontrée en janvier, elle me reconnaît du coup c’est l’occasion de discuter de ma petite déception (dont je vous parlerais bientôt) pour son livre le soleil à mes pieds, elle comprend mon point de vue et me conseille « Twist » qui lui ne devrait pas me décevoir, je l’espère vivement.

Je tente une traversée dans les allées des auteurs jeunesse, j’y vois le papa de Ratus, et là je retombe à l’âge de 6 ans devant mon livre d’apprentissage à la lecture, grosse claque, après le rat j’ai croisé une souris, un parc animalier ce salon, il s’agissait de Geronimo Stilton la coqueluche littéraire des enfants, il faut dire que ces livres d’aventures sont attrayants.

Je finis mon tour par la lignée auteurs « perdus » je dis cela parce qu’ils sont un peu cachés et isolés et c’est que j’ai trouvé ma pépite, Nicolas Robin auteur de Roland est mort, livre totalement inconnu pour moi, la couverture m’a interpellé faut dire que rose pétard on ne peut pas le louper et la quatrième de couverture m’a juste fait rire à tel point que l’auteur lui-même en a été amusé, une discussion plus tard je me dis que là j’ai fait une trouvaille et d’ailleurs je vous en parle demain si vous êtes sage.

Allez je fuis la foule, passe à la caisse d’un libraire pas aimable, décidément, c’est le deuxième sur un salon.

En résumé de belles rencontres et une foule folle peut-être qu’étendre la plage horaire du salon serait préférable.