La quatrième de couverture.
Le Joyau, haut lieu et cœur de la cité solitaire, représente la vanité, la cruauté, la servitude.
Après que la Duchesse du Lac l'a surprise avec Ash, le compagnon qu'elle avait loué pour sa nièce, Violet n'a plus le choix : elle doit s'enfuir sous peine d'être éxécutée.
Accompagnée de sa meilleure amie, Raven, et d'Ash, Violet laisse donc derrière elle cette vie d'esclave. Mais personne n'a dit que sortir du Joyau serait une partie de plaisirs:les régimentaires les traquent sans pitié à travers les anneaux de la Cité solitaire. Violet, pourtant, va découvrir que ses pouvoirs sont bien plus puissants qu'elle ne l'avait imaginé...
Après le fort coup de cœur que j'ai eu pour le tome 1, j'avais vraiment hâte de lire ce second tome.
On commence le livre là où l'on s'était arrêté dans le tome1 et on entre directement dans l'action avec la conséquence de la découverte de la Duchesse du Lac.
On va toujours suivre les aventures de Violet pour cette fois-ci, échapper à la royauté. J'ai trouvé qu'elle était un peu plus mature qu'avant ; c'est bien la première fois que j'apprécié vraiment une héroïne de roman. Ensuite, j'ai adoré Ash car pendant la fuite, on apprend son passé et comment il est devenu compagnon. J'ai eu un peu plus de mal avec Raven : je ne vois pas ce qu'elle fait encore dans l'histoire.
A travers leur fuite, on a pleins de rebondissements, mais aussi des personnages un peu trop peu prudent. Puis on a les descriptions rapides des autres anneaux de la Cité (la Fumée, le Commerce) que j'aurai aimé découvrir un peu plus (même si nos héros étaient en fuite). Finalement, cette fuite finit dans la Ferme, territoire d'origine de Violet, chez une " vieille " femme, Sil, qui va apprendre à Violet qui sot vraiment les mères-porteuses et le pouvoir qu'elles ont en elles.
Moi qui ne suit pas une grande fan de dystopie habituellement, j'aime beaucoup la lutte et la dénonciation du système dans cette trilogie. J'ai hâte de découvrir la fin de tout cela.
Amy Ewing / Robert Laffont / R / 2015 / 396 pages.