A l'école du libertinage, quarante-deux jeunes gens sont soumis corps et âme aux fantasmes des maîtres du château.
Premier chef-d'œuvre du Marquis de Sade, tout à la fois scandale et révolution littéraire, chacune de ces cents vingts journées de Sodome est un tableau des vices et perversions les plus criminelles, découvrant avec un inimitable génie la face noire et inavouable de l'homme.
Comment dire ? Je suis " choquée " de ma lecture, je n'ai jamais lu un livre aussi cru. Même en ne supportant pas tout ce qui touche à la scatologie, c'est un livre intéressant.
Tout d'abord, je trouve que c'est un véritable chef-d'œuvre : le Marquis de Sade a osé montré à tous comment une partie de la société avant la Révolution Française vivait. C'est vrai qu'il faut avoir beaucoup d'envie pour lire un livre comme celui-là mais, surtout, il ne faut pas s'arrêter au fait qu'il y ait les mots " merde " ou " cul " et autres mots semblables dans chaque phrase ; il faut penser que son œuvre est intemporelle puisqu'elle montre les vices de l'être humain tels qu'ils étaient dans le passé et tels qu'ils le sont encore de nos jours.
Sinon, je vais peut-être passée pour une " tordue " mais j'ai vraiment aimé ce livre.
Marquis de Sade / 10-18 / 1998 / 448 pages.