J’ai commencé à lire Franck THILLIEZ à partir de syndrome E. Maintenant je reviens en arrière pour en apprendre un peu plus sur Sharko.
Edition: La vie du Rail (Pocket)
Nombre de pages: 340 pages
On y retrouve donc l’inspecteur Sharko qui se tue au travail pour tenter de combattre ses démons.
Une nouvelle enquête l’emmène sur les traces d’un tueur qui utilise les insectes pour perpétrer ses meurtres. Papillons, moustiques, fourmis… l’enquête va l’emmener dans les sous-sols de Paris là où un marché interdit et hors du commun l’attend. Si vous n’aimez pas ces petites bestioles (comme moi) vous ressentirez encore plus l’angoisse de l’histoire.
Comme à mon habitude, je ne résume pas plus le livre pour vous laisser découvrir la suite. Il n’y a rien de pire que de lire un résumé qui reprend les éléments essentiels d’une histoire.
J’en suis même arrivée à ne plus lire la quatrième de couverture car des fois je trouve qu’elle en dit déjà trop.
Je suis une fan de Franck Thilliez et j’ai aimé tous ses livres (certains plus que d’autres évidemment).
La plupart de ses livres racontent l’histoire de Franck Sharko, et je trouve ce personnage très attachant.
J’ai beaucoup aimé ce retour en arrière dans sa vie, et je peux encore revenir en arrière avec « Train d’enfer pour ange rouge » qui, de ce que j’ai compris, relate une enquête qui est devenue personnelle <SPOILER> (surligner pour voir le texte) à l’issue de laquelle il a perdu sa femme et sa fille.
J’aime beaucoup la façon d’écrire de Franck Thilliez, et surtout sa façon de décrire les scènes de crime, on s’y croirait (j’ai d’ailleurs déjà eu le souvenir d’une histoire de Franck Thilliez que je pensais avoir vu en film).
Il a l’art de vous attirer dans ses filets et de vous rendre accro à l’histoire, au point de ne pas vouloir refermer le livre avant d’avoir résolu son énigme.
Et, très souvent, il nous surprend encore à la fin, lorsque l’on pense que tout est dit, il trouve un moyen de nous en remettre une couche et j’adore ça.
En résumé, j’ai bien aimé ce livre, même si ce n’est pas le meilleur du meilleur de Franck Thilliez ça reste très bon!
Un dernier petit mot à propos de la couverture:
Comme vous le savez j’attache une importance particulière aux couvertures des livres que je lis et celle de la version Pocket (cf. l’image ci-dessus) me déçoit assez…
Je ne comprends pas trop l’idée…Même si elle est assez jolie, je préfère la version « en noir » avec juste un papillon.