J’ai les ai aimés en grand format, ils sortent en poche ! #001

Par Entre Les Pages @EntreLesPages

L’idée de ce billet est née chez Pretty Books. Je vais y mettre de nouveau en avant les livres que j’ai aimés lors de leur sortie en grand format et qui sont désormais disponibles pour une seconde vie en format poche.

Entre Avril et Mai 2016, sont donc sortis en poche :

La bibliothèque des cœurs cabossés
(Mon avis) (Le Challenge Cabossé)

Présentation de l’éditeur :
Tout commence par les lettres que s’envoient deux femmes très différentes : Sara Lindqvist, vingt-huit ans, petit rat de bibliothèque mal dans sa peau, vivant à Haninge en Suède, et Amy Harris, soixante-cinq ans, vieille dame cultivée et solitaire, de Broken Wheel, dans l’Iowa. Après deux ans d’échanges et de conseils à la fois sur la littérature et sur la vie, Sara décide de rendre visite à Amy. Mais, quand elle arrive là-bas, elle apprend avec stupeur qu’Amy est morte. Elle se retrouve seule et perdue dans cette étrange petite ville américaine. Pour la première fois de sa vie, Sara se fait de vrais amis – et pas uniquement les personnages de ses romans préférés –, qui l’aident à monter une librairie avec tous les livres qu’Amy affectionnait tant. Ce sera pour Sara, et pour les habitants attachants et loufoques de Broken Wheel, une véritable renaissance. Et lorsque son visa de trois mois expire, ses nouveaux amis ont une idée géniale et complètement folle pour la faire rester à Broken Wheel

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Si j’ai bonne mémoire
(la suite de Ce que je peux te dire d’elles)
(Mon avis)

Présentation de l’éditeur :
Violette
est de retour à Toulouse, bercail de la tribu Balaguère, avec son mari, leur petit garçon et toute leur joyeuse ménagerie. Là-bas, ils replongent dans l’univers d’enfance et d’adolescence de Violette. Un monde chamarré, chaleureux, plein de soleil, mais aussi de ces ombres silencieuses, secrets et non-dits « qui pourrissent tout » et qui l’ont fait fuir quelques années plus tôt. Elles ont un peu vieilli, mais ses tantes, ces merveilleuses mères de substitution, sont toujours là, Babé, le cœur du foyer, et son inépuisable tendresse, Justine, la magicienne aux doigts de fée, et son indéfectible énergie. Leur générosité, leur optimisme, leur amour de la vie, quels que soient les obstacles et les coups du sort. Et puis il y a Blanche, sa mère. Blanche et ses silences, Blanche et ses trous de mémoire, Blanche, de plus en plus cahin-caha… Justement, la raison officielle de ce retour est de se rapprocher d’elle. Mais Violette en a une autre, plus intime : retrouver son père, dont elle ne connaît même pas le nom… Sa mère acceptera-t-elle enfin de l’accompagner dans cette quête ? Dans la famille Balaguère, demandez Violette, la fille… À travers son histoire, qui explore tout en sensibilité les secrets, les douleurs et les joies emmêlés dans l’enfance, on retrouve avec bonheur la tribu de femmes de Ce que je peux te dire d’elles, qui a déjà conquis un large public.

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La cuisinière
(Mon avis)

Présentation de l’éditeur :
Immigrée irlandaise courageuse et obstinée arrivée seule à New York à la fin du XIXe siècle, Mary Mallon travaille comme lingère avant de se découvrir un talent caché pour la cuisine. Malheureusement, dans toutes les maisons bourgeoises où elle est employée, les gens contractent la typhoïde, et certains en meurent. Mary, de son côté, ne présente aucun symptôme de la maladie. Au contraire, sa robustesse est presque indécente. Des médecins finissent par s’intéresser à son cas, mais la cuisinière déteste qu’on l’observe comme une bête curieuse et refuse de coopérer. Pourquoi la traite-t-on comme une malade alors qu’elle est en parfaite santé ? Les autorités sanitaires, qui la considèrent comme dangereuse décident de l’envoyer en quarantaine sur une île au large de Manhattan. Commence alors pour Mary Mallon, femme indépendante, un combat à armes inégales pour sa liberté…

Et vous, pensez-vous à des livres disponibles au format poche à nous conseiller ?