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Qui le croirait ? Qui croirait cet individu qui affirme avec l'aplomb d'un grand homme d'affaires que la magie existe et qu'elle s'épanouit dans un monde parallèle où les créatures légendaires prennent vie ?
Deux jours plus tôt, Hayden aurait ri au nez de ce fou, mais l'évidence le rattrape quand il parvient à créer un incendie avec, comme unique comburant, sa propre colère.
Maintenant qu'il a fait brûler son lieu de travail ainsi que son appartement, le jeune homme décide de suivre cet inconnu ô combien charismatique !
Ainsi, il traverse la porte du Quevorah et se retrouve en Arianor, un monde où tout semble possible. Malheureusement pour lui, Hayden va vite découvrir qu'on lui a caché la vérité sur cet endroit dont l'histoire passée et actuelle n'est pas aussi belle que ce qu'on a bien voulu lui vendre. Au lieu d'arriver dans un pays où la magie unit les personnes entre elles, Hayden découvre que cela les déchire. Il se retrouve donc au milieu d'une guerre défiant les lois de la physique.
En vérité, l'inconnu qui l'a entraîné jusqu'ici y trouve son compte, car Hayden pourrait bien avoir une influence décisive sur le destin d'Arianor...
Pour commencer : elle est où la suite ? Arnaud je veux la suiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiite !
Un monde magique, peuplé de créatures non moins fantastiques, un univers peuplé de légendes.
J'ai ADORE me promener dans ce monde, et je suis frustrée de l'avoir quitté.
Les personnages sont relativement bien "travaillés", de telle manière que l'on a l'impression de les connaître réellement, que ce sont des amis (ou pas). Même chose pour ce qui nous entoure, on s'y croirait, et ce sans difficulté.
Les retournements de situation, l'évolution des choses, l'intrigue... le tout est merveilleusement ficelé par l'auteur. Lorsque l'on arrive au bout de ce premier tome, on a une seule envie, avoir la suite sous la main et continuer l'aventure.
Je dirais que Arnaud Cornillet est à la fantasy, ce que Stephen King est au thriller et à l'horreur ! Aucun doute possible, il est fait pour écrire, pour nous emporter loin, nous émerveiller parfois avec de petites choses qui paraissent sans importance.
Bien que j'aime la couverture, je trouve qu'elle ne montre pas assez ce voyage fantastique que le lecteur est amené à entreprendre en lisant l'histoire.
J'espère vous avoir convaincu de lire ce premier tome, moi j'attends la suite avec beaucoup d'impatience ☺
Merci à Babélio pour cette masse critique et aux éditions Fantasmagorie pour l'envoi de ce service presse.